Ce, afin de rendre possible l’adoption du projet de plan stratégique 2018-2022 dudit fonds dont le séminaire de validation a démarré le mardi 5 novembre.

Ce mercredi 7 novembre 2018, le dudit plan a été adopté et validé, ensuite remis au ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle par Kassoum Konaté, secrétaire général du Fdfp.

Recevant le document au nom de la ministre Kandia Camara, son chef de cabinet, Abdoulaye Kouyaté, s’est réjoui de l’organisation dudit séminaire qui, selon lui, vient à point nommé.

« Au nom de Mme la ministre Kandia Camara, je félicite les dirigeants de cette structure pour leur travail intelligent en vue d’opérationnaliser la vision des pouvoirs publics », a indiqué M. Abdoulaye Kouyaté. Et d’ajouter qu’il est temps d’adapter les instruments de formation en trouvant des stratégies efficientes pour prendre en charge les hommes et les communautés. « Le Fdfp est à l’avant-garde de cette démarche et je puis parier que le plan stratégique validé au cours de ce séminaire permettra d’adresser les questions de fond », a-t-il soutenu.

« Mme la ministre vous réitère sa satisfaction pour cette heureuse initiative. Elle promet de ne jamais lésiner sur les moyens pour la mise en œuvre pleine et entière du plan stratégique sorti de vos réflexions », a-t-il conclu.

Quant à Kassoum Konaté, secrétaire général du Fdfp, il a traduit la gratitude de sa structure à la ministre Kandia Camara pour « son engagement » lors de la cérémonie d’ouverture. « La sollicitude de Mme la ministre nous touche et nous encourage à encore aller de l’avant », s’est réjoui le secrétaire général.

S’adressant aux membres du comité scientifique et à ses collaborateurs, Kassoum Konaté les a invités à être fiers de leur institution et du travail accompli.

Aux partenaires techniques et financiers, tout en les remerciant, il les a exhortés à soutenir la mise en œuvre de ce plan stratégique. « Nous avons tous travaillé à la construction de ce plan, gouvernement, acteurs de la formation, professionnels et secteur privé. Nous devons tous se l’approprier car nous avons fait œuvre utile pour la Côte d’Ivoire et pour la prospérité », a-t-il plaidé.

Jean Bavane Kouika