ISTC polytechnique: Bientôt une pénalité infligée aux étudiants qui tardent à soutenir

Dr. Alfred Dan Moussa, directeur de l'ISTC polytechnique, lors de la conférence marquant le lancement des J'Com 2016.
Dr. Alfred Dan Moussa, directeur de l'ISTC polytechnique, lors de la conférence marquant le lancement des J'Com 2016.
Dr. Alfred Dan Moussa, directeur de l'ISTC polytechnique, lors de la confu00e9rence marquant le lancement des J'Com 2016.

ISTC polytechnique: Bientôt une pénalité infligée aux étudiants qui tardent à soutenir

ISTC polytechnique: Bientôt une pénalité infligée aux étudiants qui tardent à soutenir

Dr. Rémi Yao, sous-directeur des études et de la pédagogie à l’Institut des sciences et techniques de la communication (Istc) polytechnique, a annoncé, ce jeudi 19 mai, « qu'à partir du mois d’août 2016, tous les étudiants en fin de cycle, qui ont fait l’Istc par le passé et qui n’ont pas soutenu leur mémoire vont payer chaque année, à l’inscription, la somme de145 000 Fcfa de pénalité ».

« Vous êtes en licence, si vous n’avez pas soutenu vous serez pénalisés. À partir d’août 2016, les étudiants qui ont fait l’Istc et qui n’ont pas encore soutenu, après 2016,chaque année, ils seront amenés à payer 145 000 Fcfa », a insisté le sous-directeur des études et de la pédagogie.

Il a tenu ces propos, lors de la conférence de presse marquant le lancement de la 13e édition des journées scientifiques de l’Istc polytechnique, dénommée ''les Journées du Communicateur'' (J’Com 2016). Elles se dérouleront les14 et 15 juillet.
« Stratégie  de mobilisation sociale autour des 8e jeux de la Francophonie » est le thème retenu pour cette édition.

Par le passé et avant qu’on ne soit polytechnique, a expliqué Dr. Yao, on offrait la possibilité aux étudiants d’aller et de venir soutenir deux ou trois ans après. « Notre objectif désormais, c’est que les étudiants qui sont en fin de cycle puissent soutenir avant de partir », a-t-il recommandé. « Nous sommes un établissement assez sollicité par les entreprises qui exigent de plus en plus des étudiants qui ont déjà soutenu », a-t-il ajouté.

Par ailleurs, il a indiqué que le taux d’insertion des étudiants formés à l’Istc polytechnique est de 50 à 60%. « Aujourd’hui, avec la libéralisation de l’espace audiovisuel, nous pensons passer à 100%. Surtout avec la révision des textes de la fonction publique, nous allons faire en sorte que nos étudiants aient leur place aux concours qui seront lancés ».


Isabelle Somian
Isabelle.somian@fratmat.info