Lutte contre la disparition des mangroves. (DR)
Journée internationale des mangroves : L’Aeria sensibilise les populations à la protection
Plante à multiples fonctions pour le bien-être de la société, la mangrove est en voie de disparition en Côte d’Ivoire.
A la Journée internationale des mangroves célébrée le 26 juillet 2024, l’Aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan (Aeria), en collaboration avec l’Université Jean Lorougnon Guédé (Ujlog) de Daloa, a sensibilisé les populations à la protection de cette plante vitale.
C’était à Port-Bouët sur le thème : « Protection des écosystèmes de mangrove pour le bien-être des communautés locales, la conservation de la biodiversité et l’atténuation des effets du changement climatique ».
Selon le directeur général de l’Aeria, Aka Manoua, en 50 ans, la Côte d’Ivoire a perdu 95 % de sa superficie des mangroves, alors que cet écosystème précieux est essentiel à la vie humaine et animale.
Soutient-il, elle favorise, entre autres, des refuges de biodiversité, des réservoirs de carbone, des purificateurs d’eau, des boucliers naturels... Conscient du pouvoir des mangroves et vu l’engagement de sa structure en matière de lutte pour un meilleur environnement, il encourage tout le monde à s’engager dans la restauration des mangroves en soutenant toutes les initiatives exemplaires de préservation.
Allant dans le même sens, Pr Adohi Krou Viviane, présidente de l’Université Jean Lorougnon Guédé (Ujlog), a invité les populations au respect de la nature en ne produisant pas de déchets qui l’asphyxie. « Chacun doit veiller à ce que la nature soit propre. Ne détruisons pas la nature par toutes les actions aussi petites qu’elles soient », a-t-elle conseillé.
Pr Kouassi Henri, enseignant-chercheur à Ujlog, conférencier, a animé la conférence inaugurale sur la thématique « Protection des écosystèmes de mangrove pour le bien-être des communautés locales, la conservation de la biodiversité et l’atténuation des effets du changement climatique ». Par la suite, un panel sur les « Stratégies de conservation des mangroves en Côte d’Ivoire » a meublé l’activité.
Instruite sur les bienfaits de la mangrove, la chefferie du village d’Abouabou entend partager ces informations à ses administrés.
C’était à Port-Bouët sur le thème : « Protection des écosystèmes de mangrove pour le bien-être des communautés locales, la conservation de la biodiversité et l’atténuation des effets du changement climatique ».
Selon le directeur général de l’Aeria, Aka Manoua, en 50 ans, la Côte d’Ivoire a perdu 95 % de sa superficie des mangroves, alors que cet écosystème précieux est essentiel à la vie humaine et animale.
Soutient-il, elle favorise, entre autres, des refuges de biodiversité, des réservoirs de carbone, des purificateurs d’eau, des boucliers naturels... Conscient du pouvoir des mangroves et vu l’engagement de sa structure en matière de lutte pour un meilleur environnement, il encourage tout le monde à s’engager dans la restauration des mangroves en soutenant toutes les initiatives exemplaires de préservation.
Allant dans le même sens, Pr Adohi Krou Viviane, présidente de l’Université Jean Lorougnon Guédé (Ujlog), a invité les populations au respect de la nature en ne produisant pas de déchets qui l’asphyxie. « Chacun doit veiller à ce que la nature soit propre. Ne détruisons pas la nature par toutes les actions aussi petites qu’elles soient », a-t-elle conseillé.
Pr Kouassi Henri, enseignant-chercheur à Ujlog, conférencier, a animé la conférence inaugurale sur la thématique « Protection des écosystèmes de mangrove pour le bien-être des communautés locales, la conservation de la biodiversité et l’atténuation des effets du changement climatique ». Par la suite, un panel sur les « Stratégies de conservation des mangroves en Côte d’Ivoire » a meublé l’activité.
Instruite sur les bienfaits de la mangrove, la chefferie du village d’Abouabou entend partager ces informations à ses administrés.