
Plusieurs chefs d’entreprises et présidents de Conseils économiques et sociaux francophones ont pris part à ce forum. (Ph: Dr)
Plusieurs chefs d’entreprises et présidents de Conseils économiques et sociaux francophones ont pris part à ce forum. (Ph: Dr)
Transformation durable des économies : Un appel à vulgariser l’entrepreneuriat jeune et féminin
« Transformation durable des économies dans un monde en pleine mutation économique ». C’est sur ce thème que plusieurs chefs d’entreprises, décideurs, des présidents de Conseils économiques et sociaux de l’espace francophone ont planché à la 6e édition du Forum international des entreprises francophones (Fief) tenue à Abidjan-Plateau, les 27 et 28 mai 2025.
A l’ouverture de cet évènement, Thierry Beaudet, le président du Conseil économique, social et environnemental (Cese) français, a fait diverses propositions pour réussir cette transformation durable des économies dans l'espace francophone.
Selon lui, les pays doivent s’appuyer sur la jeunesse. « D'ici à 2050, plus de 70% des francophones seront Africains et majoritairement jeunes. L'entrepreneuriat jeune et féminin, l'accès aux compétences numériques, la mobilité économique et académique doivent être au cœur de notre politique. C'est ce que le Cese français recommande à l'État », a-t-il indiqué.
Thierry Beaudet a également souhaité que soit renforcée la place de la Société civile dans les instances de la Francophonie et de créer des partenariats formels avec l'Organisation internationale de la Francophonie (Oif).
Selon lui, de leur capacité à fédérer les acteurs économiques, professionnels, syndicaux, associatifs, ils sont des catalyseurs de développement. Ces acteurs de la Société civile « peuvent et doivent contribuer à structurer cette francophonie économique et numérique que nous appelons de nos vœux ».
Le président du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) de Côte d’Ivoire, Dr Aka Aouélé, par ailleurs président de l’Union des conseils économiques et sociaux et institutions similaires francophones (Ucesif), a exhorté à une francophonie économique forte et solidaire. « Dans notre monde en constante évolution où les rapports de puissance se redéfinissent de plus en plus par l'économie, la Francophonie ne peut se contenter de jouer un rôle de promotion culturelle. Elle doit également devenir un espace de croissance partagée », a-t-il invité.
Dr Aka Aouélé a ainsi plaidé pour des coopérations stratégiques, des projets co-construits et une volonté politique partagée afin de bâtir un espace francophone inclusif, intégré et économiquement influent.
Pour une Francophonie plus inclusive, le Groupement du patronat francophone (Gpf), selon son président, Jean Loup Blachier, s’apprête à lancer d’ailleurs un centre de médiation et d’arbitrage. L’objectif est de sécuriser les échanges et résoudre les différends commerciaux dans l’espace francophone.
Trois panels ont meublé ce forum dont le commissariat général est dirigé par Moussa Dembélé. Il s'agit de "la culture comme levier économique" ; "la formation comme moteur de compétences", et "l’agrobusiness comme pilier de souveraineté alimentaire".
Selon lui, les pays doivent s’appuyer sur la jeunesse. « D'ici à 2050, plus de 70% des francophones seront Africains et majoritairement jeunes. L'entrepreneuriat jeune et féminin, l'accès aux compétences numériques, la mobilité économique et académique doivent être au cœur de notre politique. C'est ce que le Cese français recommande à l'État », a-t-il indiqué.
Thierry Beaudet a également souhaité que soit renforcée la place de la Société civile dans les instances de la Francophonie et de créer des partenariats formels avec l'Organisation internationale de la Francophonie (Oif).
Selon lui, de leur capacité à fédérer les acteurs économiques, professionnels, syndicaux, associatifs, ils sont des catalyseurs de développement. Ces acteurs de la Société civile « peuvent et doivent contribuer à structurer cette francophonie économique et numérique que nous appelons de nos vœux ».
Le président du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec) de Côte d’Ivoire, Dr Aka Aouélé, par ailleurs président de l’Union des conseils économiques et sociaux et institutions similaires francophones (Ucesif), a exhorté à une francophonie économique forte et solidaire. « Dans notre monde en constante évolution où les rapports de puissance se redéfinissent de plus en plus par l'économie, la Francophonie ne peut se contenter de jouer un rôle de promotion culturelle. Elle doit également devenir un espace de croissance partagée », a-t-il invité.
Dr Aka Aouélé a ainsi plaidé pour des coopérations stratégiques, des projets co-construits et une volonté politique partagée afin de bâtir un espace francophone inclusif, intégré et économiquement influent.
Pour une Francophonie plus inclusive, le Groupement du patronat francophone (Gpf), selon son président, Jean Loup Blachier, s’apprête à lancer d’ailleurs un centre de médiation et d’arbitrage. L’objectif est de sécuriser les échanges et résoudre les différends commerciaux dans l’espace francophone.
Trois panels ont meublé ce forum dont le commissariat général est dirigé par Moussa Dembélé. Il s'agit de "la culture comme levier économique" ; "la formation comme moteur de compétences", et "l’agrobusiness comme pilier de souveraineté alimentaire".