CNE 1
Projet Fit For Fair : Un atelier pour valider les recommandations et établir une feuille de route opérationnelle
Le 4ᵉ atelier technique du projet Fit For Fair se tient du 26 au 28 mai 2025 à Jacqueville.
Cette rencontre technique vise à examiner les conclusions du projet Fit For Fair, en vue de valider les recommandations et les feuilles de route pour la mise en œuvre des propositions d’amendement du cadre réglementaire national.
À l’ouverture des travaux, le 26 mai 2025, Serge Bombo, secrétaire général du Conseil national des exportations (CNE), a souligné l’importance stratégique de cet atelier.
« Cet atelier, l’avant-dernier du projet, constitue une étape décisive. Il vise à traduire plusieurs mois de réflexions, d’analyses et de consultations en recommandations concrètes et en feuilles de route opérationnelles, afin de permettre à notre pays de s’aligner sur les nouvelles exigences environnementales et sociales du commerce international, notamment celles issues des réglementations européennes », a-t-il déclaré.
Il a rappelé que la Côte d’Ivoire, l’un des principaux partenaires économiques de l’Union européenne en Afrique de l’Ouest, avec près de 32 % de ses exportations de biens destinées à l’UE, fait face à d’importants défis.
En effet, l’UE a renforcé son cadre réglementaire pour garantir que les produits entrant sur son territoire soient exempts de déforestation et issus de chaînes d’approvisionnement respectueuses des droits humains et de l’environnement.
« Pour notre pays, cela signifie une nécessité urgente d’adaptation », a-t-il insisté.
Dans ce contexte, poursuit Serge Bombo, il devient impératif pour la Côte d’Ivoire de repenser ses pratiques, d’intégrer les normes de durabilité dans les chaînes de valeur et de garantir que ses produits respectent les nouvelles exigences des marchés européens.
« Cela ne représente pas uniquement une contrainte, mais également une opportunité pour transformer notre économie, préserver nos forêts et promouvoir un développement durable en Côte d’Ivoire », a-t-il ajouté.
Le secrétaire général a précisé que ces trois jours de travaux s’appuient sur les réflexions et les contributions d’un groupe pluridisciplinaire d’experts, autour de quatre thématiques majeure, à savoir la diligence environnementale et la gestion des risques ; le droit et les institutions ; les droits de l’homme et la diligence sociale ; la traçabilité et les solutions digitales.
Il a enfin indiqué que, sur une échelle de dix, les acteurs sont aujourd’hui à l’étape neuf des réalisations du projet, ce qui marque un niveau d’avancement significatif.
Le projet Fit For Fair est financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement, avec l’appui de la GIZ.
« Cet atelier, l’avant-dernier du projet, constitue une étape décisive. Il vise à traduire plusieurs mois de réflexions, d’analyses et de consultations en recommandations concrètes et en feuilles de route opérationnelles, afin de permettre à notre pays de s’aligner sur les nouvelles exigences environnementales et sociales du commerce international, notamment celles issues des réglementations européennes », a-t-il déclaré.
Il a rappelé que la Côte d’Ivoire, l’un des principaux partenaires économiques de l’Union européenne en Afrique de l’Ouest, avec près de 32 % de ses exportations de biens destinées à l’UE, fait face à d’importants défis.
En effet, l’UE a renforcé son cadre réglementaire pour garantir que les produits entrant sur son territoire soient exempts de déforestation et issus de chaînes d’approvisionnement respectueuses des droits humains et de l’environnement.
« Pour notre pays, cela signifie une nécessité urgente d’adaptation », a-t-il insisté.
Dans ce contexte, poursuit Serge Bombo, il devient impératif pour la Côte d’Ivoire de repenser ses pratiques, d’intégrer les normes de durabilité dans les chaînes de valeur et de garantir que ses produits respectent les nouvelles exigences des marchés européens.
« Cela ne représente pas uniquement une contrainte, mais également une opportunité pour transformer notre économie, préserver nos forêts et promouvoir un développement durable en Côte d’Ivoire », a-t-il ajouté.
Le secrétaire général a précisé que ces trois jours de travaux s’appuient sur les réflexions et les contributions d’un groupe pluridisciplinaire d’experts, autour de quatre thématiques majeure, à savoir la diligence environnementale et la gestion des risques ; le droit et les institutions ; les droits de l’homme et la diligence sociale ; la traçabilité et les solutions digitales.
Il a enfin indiqué que, sur une échelle de dix, les acteurs sont aujourd’hui à l’étape neuf des réalisations du projet, ce qui marque un niveau d’avancement significatif.
Le projet Fit For Fair est financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement, avec l’appui de la GIZ.