L’atelier s'est poursuit jusqu’au 22 mai.
Économie : Clôture du programme agroécologie de la Cedeao, cap sur l’agriculture durable
La Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) a lancé le 20 mai 2025, à Abidjan, l’atelier de clôture du Programme agroécologie (Pae), initié en 2018 avec le soutien de l’Union européenne (Ue) et de l’Agence française de développement (Afd). Plus de 200 participants venus des 15 États membres y prennent part.
Dans son allocution d'ouverture, Kassoum Karamoko, directeur général de la promotion de la riziculture et représentant du ministre d’État en charge de l’Agriculture de Côte d’Ivoire, a salué les avancées concrètes du programme.
Selon lui, le Pae démontre qu’une autre agriculture est possible, plus respectueuse des sols, plus autonome et ancrée dans les réalités locales. Il a notamment mis en avant les gains observés dans la culture de l’igname grâce à la jachère améliorée.
Abondant dans le sens, Massandjé Touré-Litsé, Commissaire aux affaires économiques et à l’agriculture de la Cedeao, a qualifié le Pae de réponse stratégique face aux défis alimentaires, climatiques et environnementaux. Elle a insisté sur l’importance de soutenir les exploitations familiales et de promouvoir des systèmes agricoles durables et résilients.
Quant à Abdoulaye Traoré, représentant de l’Union européenne, il a réaffirmé l’engagement de l’Ue pour une agriculture ouest-africaine souveraine et durable. Il a souligné la nécessité d’approches inclusives, alliant savoir traditionnel, recherche scientifique et dialogue politique.
Jean-René Cuzon, représentant de l’Afd, a salué l’approche collaborative du programme fondée sur une gouvernance partagée entre les acteurs locaux, chercheurs et institutions.
JAURÈS DROHGBA (Stagiaire)
Selon lui, le Pae démontre qu’une autre agriculture est possible, plus respectueuse des sols, plus autonome et ancrée dans les réalités locales. Il a notamment mis en avant les gains observés dans la culture de l’igname grâce à la jachère améliorée.
Abondant dans le sens, Massandjé Touré-Litsé, Commissaire aux affaires économiques et à l’agriculture de la Cedeao, a qualifié le Pae de réponse stratégique face aux défis alimentaires, climatiques et environnementaux. Elle a insisté sur l’importance de soutenir les exploitations familiales et de promouvoir des systèmes agricoles durables et résilients.
Quant à Abdoulaye Traoré, représentant de l’Union européenne, il a réaffirmé l’engagement de l’Ue pour une agriculture ouest-africaine souveraine et durable. Il a souligné la nécessité d’approches inclusives, alliant savoir traditionnel, recherche scientifique et dialogue politique.
Jean-René Cuzon, représentant de l’Afd, a salué l’approche collaborative du programme fondée sur une gouvernance partagée entre les acteurs locaux, chercheurs et institutions.
JAURÈS DROHGBA (Stagiaire)