Aménagement forestier: Sodefor et Ageroute réalisent un projet dans une quinzaine de localités du pays
La Société de développement des forêts (Sodefor), dans la droite ligne de ses missions et l’Agence de gestion des routes (Ageroute) ont mis en œuvre un projet d’aménagement de 1000 ha de périmètres dans une quinzaine de localités, sur l’ensemble du territoire national.
Les acteurs se sont retrouvés pour faire le bilan à l’occasion d’un atelier de restitution qui s’est déroulé le mercredi 8 janvier 2025, à Cocody-Angré (Abidjan).
Le directeur général de la Sodefor, le conservateur général des Eaux et forêts, Mamadou Sangaré, a expimé sa satisfaction quant aux résultats obtenus.
Selon lui, le projet a permis de répondre à plusieurs défis majeurs en matière de développement durable, notamment la préservation des ressources naturelles et l’amélioration des conditions de vie des communautés rurales.
La composante forêt dont la Sodefor avait la charge, a consisté en la sensibilisation des populations pour les amener à comprendre l’intérêt ; à la délimitation des parcelles pour cerner les limites et de protéger les parcelles contre les coups de vent.
Il a aussi favorisé dans ces localités la création de cordon de protection, c’est-à-dire des bandes de forêts autour des cours d’eau pour stabiliser les rives et ainsi limiter les risques d’ensablement. La fertilisation des sols et le reboisement par le planting de certaines essences. Précisant que les sites impactés par la construction de route ont été prioritaires pour éviter l’érosion.
Le projet a été financé à environ 700 millions de F Cfa par l’Uemoa dans le cadre de son Programme triennal de mise en œuvre de la politique environnementale. Dans lequel, elle a inclu la réalisation d’un Programme régional d’adaptation aux changements climatiques. Ce projet a été implémenté de 2021 à 2024.
L’Agence de gestion des routes (Ageroute) a été désignée comme maître d’ouvrage. Koman Serges, conseiller technique du directeur général de cette agence, a exprimé sa gratitude au bailleur qui a fait confiance à sa structure. Il a précisé que l’activité première de son institution est la construction des routes.
En revanche, elle n’est pas extérieure au reboisement auquel elle s’adonne dans le cadre de sa démarche de Responsabilité sociétale des entreprises (Rse).
La directrice de cabinet au ministère des Eaux et Forêts, le conservateur général des Eaux et forêts, Zouzou épouse Mailly Elvire-Joelle, a salué le travail abattu par la Sodefor, surtout pour sa compétence technique et la synergie d’actions avec les différents acteurs impliqués. Elle a particulièrement plaidé auprès de l’Ageroute pour que l’Uemoa étende le projet à d’autres sites de reboisement.
Mais déjà pour la pérennisation des acquis, selon Mamadou Sangaré, des comités de gestion ont été mis en place. Ceux-ci devront assurer l’entretien des aménagements et la transmission des connaissances acquises.
Bongouanou (sous-préfectures de Tiémélékro et d’Assahoufoué), Dabakala, Séguéla, Kani, Odiénné, Minignan et Bondoukou, Lakota (Dahiri), Aboisso sont entre autres les localités concernées.
Le directeur général de la Sodefor, le conservateur général des Eaux et forêts, Mamadou Sangaré, a expimé sa satisfaction quant aux résultats obtenus.
Selon lui, le projet a permis de répondre à plusieurs défis majeurs en matière de développement durable, notamment la préservation des ressources naturelles et l’amélioration des conditions de vie des communautés rurales.
La composante forêt dont la Sodefor avait la charge, a consisté en la sensibilisation des populations pour les amener à comprendre l’intérêt ; à la délimitation des parcelles pour cerner les limites et de protéger les parcelles contre les coups de vent.
Il a aussi favorisé dans ces localités la création de cordon de protection, c’est-à-dire des bandes de forêts autour des cours d’eau pour stabiliser les rives et ainsi limiter les risques d’ensablement. La fertilisation des sols et le reboisement par le planting de certaines essences. Précisant que les sites impactés par la construction de route ont été prioritaires pour éviter l’érosion.
Le projet a été financé à environ 700 millions de F Cfa par l’Uemoa dans le cadre de son Programme triennal de mise en œuvre de la politique environnementale. Dans lequel, elle a inclu la réalisation d’un Programme régional d’adaptation aux changements climatiques. Ce projet a été implémenté de 2021 à 2024.
L’Agence de gestion des routes (Ageroute) a été désignée comme maître d’ouvrage. Koman Serges, conseiller technique du directeur général de cette agence, a exprimé sa gratitude au bailleur qui a fait confiance à sa structure. Il a précisé que l’activité première de son institution est la construction des routes.
En revanche, elle n’est pas extérieure au reboisement auquel elle s’adonne dans le cadre de sa démarche de Responsabilité sociétale des entreprises (Rse).
La directrice de cabinet au ministère des Eaux et Forêts, le conservateur général des Eaux et forêts, Zouzou épouse Mailly Elvire-Joelle, a salué le travail abattu par la Sodefor, surtout pour sa compétence technique et la synergie d’actions avec les différents acteurs impliqués. Elle a particulièrement plaidé auprès de l’Ageroute pour que l’Uemoa étende le projet à d’autres sites de reboisement.
Mais déjà pour la pérennisation des acquis, selon Mamadou Sangaré, des comités de gestion ont été mis en place. Ceux-ci devront assurer l’entretien des aménagements et la transmission des connaissances acquises.
Bongouanou (sous-préfectures de Tiémélékro et d’Assahoufoué), Dabakala, Séguéla, Kani, Odiénné, Minignan et Bondoukou, Lakota (Dahiri), Aboisso sont entre autres les localités concernées.