
Des prescripteurs, architectes, clients et entreprises de sécurité électronique se sont retrouvés pour s’accorder sur les bonnes pratiques dans la rédaction et la réponse aux appels d’offres. (Ph: Dr)
Des prescripteurs, architectes, clients et entreprises de sécurité électronique se sont retrouvés pour s’accorder sur les bonnes pratiques dans la rédaction et la réponse aux appels d’offres. (Ph: Dr)
Secteur de la sécurité électronique : Les dix clés pour remporter un appel d’offres
La rencontre thématique périodique du Groupement ivoirien des professionnels de la sécurité électronique (Gipse) s'est tenue pour la 6e fois, le 24 mai, à Marcory.
Pour la 6e édition de sa rencontre thématique périodique dénommée « Café du Gipse », le 24 mai, à Marcory, le Groupement ivoirien des professionnels de la sécurité électronique (Gipse) a choisi de porter les réflexions sur les appels d’offres dans le secteur de la sécurité électronique.
Le thème « Comprendre les enjeux d’un appel d’offres » a été décortiqué à travers plusieurs présentations dont celle de Franck Gnago, expert en sécurité et sûreté des entreprises, qui a donné les clés permettant de réussir sa réponse à un appel d’offres.
Franck Gnago a partagé dix clés en tout. Entre autres, s’assurer de la clarté et du caractère réaliste du cahier des charges ; faire des propositions au-delà des attentes ; éviter le copier-coller ; faire un travail d’équipe et être flexible, et ne pas transmettre de « chiffon ».
Par-dessus tout, le conférencier a conseillé aux entreprises de ne pas participer à l’appel d’offres quand elles savent qu’elles n’ont pas les ressources matérielles, humaines ou financières à ce moment.
« C’est votre image qui est en jeu. Il faut savoir dire non. Il faut aussi susciter des auditions ou des démos, car cela permet de se démarquer des autres. Il faut aussi éviter de laisser le travail à une seule personne. Pour cela, il est efficace de mettre en place au sein de l’entreprise un commando spécialement dédié aux projets d’appels d’offres », a-t-il conseillé.
Pour Christian Lesjone, président du Gipse et directeur général de la société Global Protection, il était important que ce thème soit abordé. « On est confronté à un tas de variantes dans les appels d’offres. Il y en a qui sont bien architecturés, faciles à répondre et d’autres qui le sont très difficilement. L’un des objectifs de ce café était de créer un dialogue direct entre prescripteurs, cabinets d’architectures et nous c’est-à-dire les sociétés offrant des services de sécurité électronique », a-t-il expliqué.
L’autre objectif de ce café pour le Gipse était donc de s’accorder avec les prescripteurs, les cabinets d’architecture et les clients sur les pratiques à observer dans les appels d’offres de sorte à permettre aux entreprises de sécurité électronique de toujours proposer de meilleures offres.
La sécurité électronique, rappelons-le, rassemble plusieurs sous-secteurs tels que la sécurité incendie, l’alarme, la vidéo-surveillance, le tracking Gps pour les véhicules, la biométrie, le contrôle d’accès.
Après deux mandats successifs de deux ans chacun à la tête du Gipse, Christian Lejosne a passé le témoin à son successeur Bruno Martinato, au cours de l’assemblée générale du Gipse qui a clos la rencontre.
Franck Gnago a partagé dix clés en tout. Entre autres, s’assurer de la clarté et du caractère réaliste du cahier des charges ; faire des propositions au-delà des attentes ; éviter le copier-coller ; faire un travail d’équipe et être flexible, et ne pas transmettre de « chiffon ».
Par-dessus tout, le conférencier a conseillé aux entreprises de ne pas participer à l’appel d’offres quand elles savent qu’elles n’ont pas les ressources matérielles, humaines ou financières à ce moment.
« C’est votre image qui est en jeu. Il faut savoir dire non. Il faut aussi susciter des auditions ou des démos, car cela permet de se démarquer des autres. Il faut aussi éviter de laisser le travail à une seule personne. Pour cela, il est efficace de mettre en place au sein de l’entreprise un commando spécialement dédié aux projets d’appels d’offres », a-t-il conseillé.
Pour Christian Lesjone, président du Gipse et directeur général de la société Global Protection, il était important que ce thème soit abordé. « On est confronté à un tas de variantes dans les appels d’offres. Il y en a qui sont bien architecturés, faciles à répondre et d’autres qui le sont très difficilement. L’un des objectifs de ce café était de créer un dialogue direct entre prescripteurs, cabinets d’architectures et nous c’est-à-dire les sociétés offrant des services de sécurité électronique », a-t-il expliqué.
L’autre objectif de ce café pour le Gipse était donc de s’accorder avec les prescripteurs, les cabinets d’architecture et les clients sur les pratiques à observer dans les appels d’offres de sorte à permettre aux entreprises de sécurité électronique de toujours proposer de meilleures offres.
La sécurité électronique, rappelons-le, rassemble plusieurs sous-secteurs tels que la sécurité incendie, l’alarme, la vidéo-surveillance, le tracking Gps pour les véhicules, la biométrie, le contrôle d’accès.
Après deux mandats successifs de deux ans chacun à la tête du Gipse, Christian Lejosne a passé le témoin à son successeur Bruno Martinato, au cours de l’assemblée générale du Gipse qui a clos la rencontre.