Instances et fonctionnement des partis politiques: La jeunesse militante engagée à accroître sa représentativité
Le Conseil national des droits de l'homme a initié une caravane de sensibilisation des jeunes, en vue d'une meilleure responsabilité en politique.
Les jeunes constituent la force vive des partis et groupements politiques dans la conquête du pouvoir.
Dr N’Goran Bangali, relativement à cette réalité, a invité le mardi 14 mai 2024, dans les locaux du Conseil national des droits de l’homme (Cndh) à Cocody, la jeunesse militante de ces entités politiques, notamment le Rhdp, Pdci-Rda, Ppa-Ci et Fpi à œuvrer pour être au cœur de l’animation de leurs instances politiques.
Mieux, pour l’enseignant-chercheur, les jeunes doivent refuser d’être des faire-valoir en se formant et en prenant une part active aux activités de leurs formations politiques respectives. Ce qui permettra, à l’en croire, d’accroître leur représentativité dans les organes de fonctionnement de ces partis.
En effet, pour lui, du fait des contingences politiques, financières, culturelles, les jeunes restent écartés des responsabilités en politique. Cette situation, selon lui, engendre une problématique pour la promotion de la démocratie en ce sens que la jeunesse constitue 70% de la population ivoirienne.
Il a donc plaidé pour une implication des jeunes dans la vie politique en vue de garantir la stabilité des institutions. « Les jeunes, même compétents ne peuvent réussir tous seuls en politique si on ne leur ouvre pas les portes », a-t-il plaidé.
Après sa conférence publique, quatre jeunes, représentant respectivement le Rhdp, le Pdci-Rda, le Ppa-Ci et le Fpi, dans une joute oratoire, avec arguments à l’appui, ont défendu la position de leurs formations politiques, relativement aux échéances électorales de 2025.
C’est la présidente du Cndh, Namizata Sangaré, qui était la modératrice du panel. Elle a soutenu que sa démarche initiée en collaboration avec le National democratic institute (Ndi) s’inscrit dans la dynamique de la caravane de sensibilisation des jeunes, en vue d’une meilleure responsabilité en politique.
« Nous essayons d’édifier ces jeunes, leur donner la parole pour recenser leurs besoins dans les partis politiques », a-t-elle justifié.
Mieux, pour l’enseignant-chercheur, les jeunes doivent refuser d’être des faire-valoir en se formant et en prenant une part active aux activités de leurs formations politiques respectives. Ce qui permettra, à l’en croire, d’accroître leur représentativité dans les organes de fonctionnement de ces partis.
En effet, pour lui, du fait des contingences politiques, financières, culturelles, les jeunes restent écartés des responsabilités en politique. Cette situation, selon lui, engendre une problématique pour la promotion de la démocratie en ce sens que la jeunesse constitue 70% de la population ivoirienne.
Il a donc plaidé pour une implication des jeunes dans la vie politique en vue de garantir la stabilité des institutions. « Les jeunes, même compétents ne peuvent réussir tous seuls en politique si on ne leur ouvre pas les portes », a-t-il plaidé.
Après sa conférence publique, quatre jeunes, représentant respectivement le Rhdp, le Pdci-Rda, le Ppa-Ci et le Fpi, dans une joute oratoire, avec arguments à l’appui, ont défendu la position de leurs formations politiques, relativement aux échéances électorales de 2025.
C’est la présidente du Cndh, Namizata Sangaré, qui était la modératrice du panel. Elle a soutenu que sa démarche initiée en collaboration avec le National democratic institute (Ndi) s’inscrit dans la dynamique de la caravane de sensibilisation des jeunes, en vue d’une meilleure responsabilité en politique.
« Nous essayons d’édifier ces jeunes, leur donner la parole pour recenser leurs besoins dans les partis politiques », a-t-elle justifié.