
La souveraineté alimentaire, un des piliers du programme du président du Cojep, Charles Blé Goudé. (Ph: Dr)
La souveraineté alimentaire, un des piliers du programme du président du Cojep, Charles Blé Goudé. (Ph: Dr)
Congrès du Cojep : Blé Goudé place la souveraineté alimentaire au cœur de son plan de développement agricole
Le président du Congrès panafricain pour la justice et l'égalité des peuples (Cojep), Charles Blé Goudé, dit vouloir baser son plan de développement agricole sur la souveraineté alimentaire. Il en a donné les grandes lignes le 12 mai 2024, à Yamoussoukro, dans son discours de cadrage des travaux du congrès de son parti.
Charles Blé Goudé entend commencer par capitaliser les terres arables de la Côte d’Ivoire. « La Côte d’Ivoire a près de 475 mille hectares de terres irrigables. Nous avons un climat qui est propice à l’agriculture. Nous avons une terre qui est riche. Nous avons une pluviométrie qui est enviable. Ce qui manque, c’est la vision et la volonté », a-t-il déclaré.
Concernant la production proprement dite, le président du Cojep met en priorité la réduction du gap entre les besoins et la capacité de production nationale. D’autant plus que la souveraineté alimentaire passe nécessairement par là, comme il l’a souligné.
« Nous consommons 2,6 millions de tonnes de riz. Nous en produisons 1,3 million de tonnes. Il faut arriver à ce que j’appelle ‘’la souveraineté alimentaire‘’. Parce que la souveraineté, ce n’est pas seulement dans le discours. Il faut pouvoir contrôler ce que l’on a dans son assiette », dira-t-il.
Pour atteindre ses objectifs, Charles Blé Goudé s’engage à mettre l’accent sur la mécanisation de l’agriculture. À ce sujet, il promet de dégager des moyens conséquents pour non seulement réduire la pénibilité du travail agricole, mais aussi de créer les conditions d’un meilleur rendement des différentes spéculations.
Sur la question, il est formel : « C’est pourquoi nous allons encourager la mécanisation de l’agriculture en Côte d’Ivoire. Nous ambitionnons également de mettre en place un Plan d’urgence pour la souveraineté alimentaire (Pusa). L’objectif est de financer la production du vivrier en général. Cela va se faire avec la création de pôles économiques en Côte d’Ivoire. Cela s’accompagne du plan retraite pour les paysans de Côte d’Ivoire que je veux mettre en place ».
Concernant la production proprement dite, le président du Cojep met en priorité la réduction du gap entre les besoins et la capacité de production nationale. D’autant plus que la souveraineté alimentaire passe nécessairement par là, comme il l’a souligné.
« Nous consommons 2,6 millions de tonnes de riz. Nous en produisons 1,3 million de tonnes. Il faut arriver à ce que j’appelle ‘’la souveraineté alimentaire‘’. Parce que la souveraineté, ce n’est pas seulement dans le discours. Il faut pouvoir contrôler ce que l’on a dans son assiette », dira-t-il.
Pour atteindre ses objectifs, Charles Blé Goudé s’engage à mettre l’accent sur la mécanisation de l’agriculture. À ce sujet, il promet de dégager des moyens conséquents pour non seulement réduire la pénibilité du travail agricole, mais aussi de créer les conditions d’un meilleur rendement des différentes spéculations.
Sur la question, il est formel : « C’est pourquoi nous allons encourager la mécanisation de l’agriculture en Côte d’Ivoire. Nous ambitionnons également de mettre en place un Plan d’urgence pour la souveraineté alimentaire (Pusa). L’objectif est de financer la production du vivrier en général. Cela va se faire avec la création de pôles économiques en Côte d’Ivoire. Cela s’accompagne du plan retraite pour les paysans de Côte d’Ivoire que je veux mettre en place ».