La cérémonie de clôture s’est achevée par une photo de famille. (Ph: Dr)
Manipulation des marchandises dangereuses en zone portuaire: La réglementation et les techniques au menu d’une formation
Les administrations en charge de la lutte contre la pollution marine et du secteur privé portuaire de l’Afrique de l’ouest et du centre ont pris part, récemment, à deux stages de formation organisés simultanément. Ce, dans le cadre des activités de l’Institut de sécurité maritime interrégional (Ismi), de l’Académie régionale des sciences et techniques de la mer (Arstm).
L’une des formations porte sur « La manipulation des marchandises dangereuses transportées en vrac » et l’autre, sur « La gestion de crise en cas de pollution marine par hydrocarbures ».
Organisées à l’Arstm à Yopougon, les formations ont enregistré 40 participants issus d’une dizaine de pays. L’objectif était de doter les participants d’outils nécessaires pouvant leur permettre de maîtriser la réglementation, mais aussi des techniques pour maîtriser les rouages de la gestion d'un poste de commandement de crise, en matière de pollution marine par les hydrocarbures.
La cérémonie de clôture a été présidée par le directeur de l'Ismi, le lieutenant-colonel Abé Aké Lazare. Il avait à ses côtés, des représentants du Centre ivoirien anti-pollution (Ciapol) ainsi que plusieurs partenaires de l’Ismi.
Il a indiqué à l’occasion, que ces formations dénotent de la volonté de l’Ismi de promouvoir la sécurité maritime et portuaire. Ainsi que la protection des ressources de l’environnement marin, par une application effective de la réglementation relative aux marchandises dangereuses et une bonne connaissance des outils de gestion des crises environnementales.
Le directeur de l’Ismi a aussi précisé que ces deux formations sont organisées dans le cadre du projet Safe Port consacré à la sécurité et à la sûreté portuaire. Il a aussi noté que l’Afrique a connu en 2022, selon une étude, une augmentation notable du trafic de marchandises transportées en vrac. Malheureusement, dira-t-il, les activités liées au transport, au stockage et à la manutention des marchandises transportées en vrac sont encore sujet à beaucoup de lacunes.
« Les terminaux polyvalents, minéraliers et céréaliers rencontrent toujours des difficultés quant à leur sécurité. En conséquence, certains ports présentent des risques industriels élevés tels que la pollution, les explosions et incendies qui auraient des conséquences fatales pour nos économies », a-t-il soutenu.
D’où la nécessité de cette session de formation qui offre les rudiments nécessaires aux auditeurs pour mieux jouer leur rôle. Aussi bien dans la gestion des marchandises dangereuses au sein de leurs ports respectifs que dans la gestion des crises de pollution marine.
Le Ciapol était représenté à la cérémonie par Eba Germain, sous-directeur de la Compagnie d’intervention contre les pollutions du milieu marin et lagunaire. Il a salué cette initiative de l’Ismi qui a permis aux auditeurs d’apprécier les voies les mieux indiquées pour contribuer à la protection de l’environnement marin en cas de pollution accidentelle marine.
Il a aussi souligné que la pollution de l'environnement marin demeure un enjeu mondial et, en particulier, une préoccupation environnementale majeure pour les autorités étatiques des pays du Golfe de Guinée.
Organisées à l’Arstm à Yopougon, les formations ont enregistré 40 participants issus d’une dizaine de pays. L’objectif était de doter les participants d’outils nécessaires pouvant leur permettre de maîtriser la réglementation, mais aussi des techniques pour maîtriser les rouages de la gestion d'un poste de commandement de crise, en matière de pollution marine par les hydrocarbures.
La cérémonie de clôture a été présidée par le directeur de l'Ismi, le lieutenant-colonel Abé Aké Lazare. Il avait à ses côtés, des représentants du Centre ivoirien anti-pollution (Ciapol) ainsi que plusieurs partenaires de l’Ismi.
Il a indiqué à l’occasion, que ces formations dénotent de la volonté de l’Ismi de promouvoir la sécurité maritime et portuaire. Ainsi que la protection des ressources de l’environnement marin, par une application effective de la réglementation relative aux marchandises dangereuses et une bonne connaissance des outils de gestion des crises environnementales.
Le directeur de l’Ismi a aussi précisé que ces deux formations sont organisées dans le cadre du projet Safe Port consacré à la sécurité et à la sûreté portuaire. Il a aussi noté que l’Afrique a connu en 2022, selon une étude, une augmentation notable du trafic de marchandises transportées en vrac. Malheureusement, dira-t-il, les activités liées au transport, au stockage et à la manutention des marchandises transportées en vrac sont encore sujet à beaucoup de lacunes.
« Les terminaux polyvalents, minéraliers et céréaliers rencontrent toujours des difficultés quant à leur sécurité. En conséquence, certains ports présentent des risques industriels élevés tels que la pollution, les explosions et incendies qui auraient des conséquences fatales pour nos économies », a-t-il soutenu.
D’où la nécessité de cette session de formation qui offre les rudiments nécessaires aux auditeurs pour mieux jouer leur rôle. Aussi bien dans la gestion des marchandises dangereuses au sein de leurs ports respectifs que dans la gestion des crises de pollution marine.
Le Ciapol était représenté à la cérémonie par Eba Germain, sous-directeur de la Compagnie d’intervention contre les pollutions du milieu marin et lagunaire. Il a salué cette initiative de l’Ismi qui a permis aux auditeurs d’apprécier les voies les mieux indiquées pour contribuer à la protection de l’environnement marin en cas de pollution accidentelle marine.
Il a aussi souligné que la pollution de l'environnement marin demeure un enjeu mondial et, en particulier, une préoccupation environnementale majeure pour les autorités étatiques des pays du Golfe de Guinée.