Justice sociale : La situation est alarmante en Afrique
Dans l’optique d’attirer l'attention sur la nécessité d'une plus grande justice sociale dans le monde, la Journée mondiale de la justice sociale est célébrée chaque 20 février depuis 2007. Cette initiative des Nations unies à travers l’Oit a été célébrée à Abidjan.
Pour cette année 2024, c’est la grande salle de Latrille Events sis à Cocody qui a abrité l’événement. À cette rencontre meublée de table ronde de haut niveau, la directrice régionale pour l’Organisation internationale en Afrique, Mme Fanfan Rwanyindo, a fait savoir qu’en Afrique la situation de la justice sociale est alarmante.
Pour elle, de nombreux défis doivent être relevés, notamment le chômage qui est grandissant chez les jeunes africains. À l'en croire, 80 % des emplois en Afrique sont dans le secteur informel. Des emplois non sécurisés par une protection sociale.
Pour pallier ces défis multiples, sa structure a opté pour le dialogue social en signant des partenariats avec des gouvernements africains, des employeurs et des syndicats. Ce, afin de discuter ensemble des problèmes et de trouver des solutions. Poursuivant, elle a évoqué le soutien technique et financier qu’apporte l’Oit pour relever ces défis.
En outre, elle a souligné que le souhait de cette organisation internationale est de voir la justice sociale être au cœur de toutes les politiques. C’est-à-dire amener tous les partenaires, organisations internationales...à s’approprier la justice sociale car, dit-elle, il y a beaucoup d’inégalités dans le monde surtout en Afrique.
Encourageant tout le monde, Mme Fanfan Rwanyindo a déclaré que la justice sociale engendre la paix, la stabilité. « Cela est justifié par les révoltes, les coups d’Etat. La pauvreté ne favorise pas la paix et cela crée l’insécurité, le banditisme et plusieurs maux dans la société », a-t-elle indiqué devant l’assemblée.
Notons que plusieurs personnalités étaient présentes à cette rencontre. Il s'agit, entre autres, des représentants des gouvernements, des travailleurs et des employeurs, l'Union africaine, la Banque africaine de développement (Bad), des donateurs, des délégués de la jeunesse de toutes les régions d'Afrique.
Pour elle, de nombreux défis doivent être relevés, notamment le chômage qui est grandissant chez les jeunes africains. À l'en croire, 80 % des emplois en Afrique sont dans le secteur informel. Des emplois non sécurisés par une protection sociale.
Pour pallier ces défis multiples, sa structure a opté pour le dialogue social en signant des partenariats avec des gouvernements africains, des employeurs et des syndicats. Ce, afin de discuter ensemble des problèmes et de trouver des solutions. Poursuivant, elle a évoqué le soutien technique et financier qu’apporte l’Oit pour relever ces défis.
En outre, elle a souligné que le souhait de cette organisation internationale est de voir la justice sociale être au cœur de toutes les politiques. C’est-à-dire amener tous les partenaires, organisations internationales...à s’approprier la justice sociale car, dit-elle, il y a beaucoup d’inégalités dans le monde surtout en Afrique.
Encourageant tout le monde, Mme Fanfan Rwanyindo a déclaré que la justice sociale engendre la paix, la stabilité. « Cela est justifié par les révoltes, les coups d’Etat. La pauvreté ne favorise pas la paix et cela crée l’insécurité, le banditisme et plusieurs maux dans la société », a-t-elle indiqué devant l’assemblée.
Notons que plusieurs personnalités étaient présentes à cette rencontre. Il s'agit, entre autres, des représentants des gouvernements, des travailleurs et des employeurs, l'Union africaine, la Banque africaine de développement (Bad), des donateurs, des délégués de la jeunesse de toutes les régions d'Afrique.