
Les experts veulent réduire davantage la mortalité de la mère et de l'Enfant pour atteindre les Objectifs du développement durable. (Dr)
Les experts veulent réduire davantage la mortalité de la mère et de l'Enfant pour atteindre les Objectifs du développement durable. (Dr)
Santé de la mère et de l’enfant: Les acteurs planchent sur l’amélioration des actions avec l’appui du Fonds Muskoka
La Côte d'Ivoire bénéficie du Fonds Français Muskoka (Ffm) depuis 2012. Ce financement s'inscrit dans le cadre d'une collaboration multilatérale à travers quatre agences du système des Nations Unies que sont Onufemme, Unfpa, Unicef et Oms en tant qu’agence lead, et, le gouvernement ivoirien, avec comme répondant, la direction générale de la santé et de la direction de la santé communautaire. Une réunion du Comité de pilotage des Fonds Français Muskoka pour l’amélioration de la santé de la mère et de l’enfant a eu lieu, le vendredi 16 février 2024, à Abidjan Plateau. Avec pour objectif de renforcer la coordination de la mise en œuvre de l’Initiative des fonds français Muskoka (Ffm) pour l’amélioration de la santé et le bien-être des femmes, nouveau-nés, enfants et adolescent(e)s en Côte d’Ivoire.
Pour El Kebir Alaoui, du bureau du Coordonnateur résident des Nations unis, la mortalité maternelle reste malheureusement une priorité pour la Côte d’Ivoire, malgré les efforts engagés. « Chaque maman et chaque enfant comptent. Je pense que c’est l’une des fortes violences pour la femme de ne pas pouvoir avoir accès à des soins dans cette phase souvent très compliquée qui est de donner naissance», a-t-il reconnu.
Fatim Tall, la représentante résidente de l’Oms, a réitéré son engagement dans la Lutte. Elle a félicité le gouvernement ivoirien pour les efforts consentis dans la réduction de la mortalité maternelle et infantile. Elle a remercié le gouvernement français pour son appui. A l’en croire, ce fonds est catalytique pour l’amélioration de la santé de la mère et de l’Enfant.
A sa suite, Emmanuelle Espier, conseillère régionale en santé, représentant l’Ambassade de France, a réitéré son engagement dans cette démarche en vue d’améliorer le bien-être de la femme et promouvoir l’égalité des sexes pour l’autonomisation des femmes. Elle a annoncé que la contribution du gouvernement français devrait passer à 20 millions d’euro par an, soit 10 millions d’euros supplémentaires.
Coulibaly Solthier, directeur de cabinet adjointe 2, représentant Pierre Dimba, ministre de la santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle, a signifié que selon les résultats l’enquête démographique et de santé (Eds), le taux de décès maternel estimé à 614 pour 100 000 naissances, a enregistré une amélioration significative, passant à 315 décès pour 100 000 naissances vivants. Pour elle, il est impératif de redoubler d’effort, pour améliorer les soins afin d’assurer la sécurité et le bien-être des nouveaux-nés.
Fatim Tall, la représentante résidente de l’Oms, a réitéré son engagement dans la Lutte. Elle a félicité le gouvernement ivoirien pour les efforts consentis dans la réduction de la mortalité maternelle et infantile. Elle a remercié le gouvernement français pour son appui. A l’en croire, ce fonds est catalytique pour l’amélioration de la santé de la mère et de l’Enfant.
A sa suite, Emmanuelle Espier, conseillère régionale en santé, représentant l’Ambassade de France, a réitéré son engagement dans cette démarche en vue d’améliorer le bien-être de la femme et promouvoir l’égalité des sexes pour l’autonomisation des femmes. Elle a annoncé que la contribution du gouvernement français devrait passer à 20 millions d’euro par an, soit 10 millions d’euros supplémentaires.
Coulibaly Solthier, directeur de cabinet adjointe 2, représentant Pierre Dimba, ministre de la santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle, a signifié que selon les résultats l’enquête démographique et de santé (Eds), le taux de décès maternel estimé à 614 pour 100 000 naissances, a enregistré une amélioration significative, passant à 315 décès pour 100 000 naissances vivants. Pour elle, il est impératif de redoubler d’effort, pour améliorer les soins afin d’assurer la sécurité et le bien-être des nouveaux-nés.