Plusieurs prix ont été décernés au cours du trentenaire du Synamepci. (Photo DR).
Accès aux soins de qualité: Les médecins privés veulent contribuer à la réalisation de la vision d'un hub sanitaire d'ici 2030
"La médecine libérale en Côte d'Ivoire ne peut prospérer que si nous sommes les artisans de son changement. C'est à nous de forger un avenir où la santé est une priorité incontestée, où la médecine libérale n'est pas seulement une profession, mais une force motrice de progrès".
Ce sont les mots du président du Syndicat national des médecins privés de Côte d’Ivoire (Synamepci), Dr Oné Madou Raphaël. Il a fait cette exhortation le 2 décembre 2023, lors de la célébration du trentenaire du Synamepci qui a eu lieu au Plateau.
Sur le thème "Trois décennies de dévouement syndical à l’avancement responsable du secteur privé de la santé", le président a appelé ses collègues médecins à s’unir. « Ensemble, nous pouvons influencer les politiques, remodeler les pratiques, et garantir un accès équitable aux soins de qualité pour tous les Ivoiriens », a-t-il insisté.
Il a par ailleurs lancé un appel aux autorités présentes afin qu’elles soient des partenaires du syndicat dans cette quête. Car, pour lui, le secteur privé médical est prêt à collaborer, à innover et à contribuer de manière significative à la réalisation de la vision d'un hub sanitaire en Côte d'Ivoire d'ici à 2030.
« Ensemble, avec détermination et responsabilité, nous pouvons transformer les défis en opportunités, les obstacles en succès. Que ces trente années ne soient pas seulement un chapitre, mais le prologue d'une ère où la médecine libérale en Côte d'Ivoire devient un phare d'excellence, guidant notre nation vers un avenir plus sain et plus prospère », a ajouté Dr Oné Madou Raphaël.
Représentant le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, le directeur de cabinet adjoint, chargé de la Couverture maladie universelle, Dr Coulibaly Soltié, s’est félicité de ce qu’en ces trente années, le syndicat s'est démarqué par son engagement en faveur de l'amélioration des conditions médicales dans le secteur privé.
Pour lui, cette maturité se reflète dans la collaboration avec le Conseil national de l'Ordre des médecins, démontrant ainsi une compréhension claire des rôles respectifs.
« Vos préoccupations, de la sécurité à la concurrence déloyale, sont entendues, et je vous assure de ma disponibilité pour trouver des solutions adaptées. Le gouvernement s'engage à faire de la Côte d'Ivoire un hub sanitaire d'ici à 2030, et dans l'intérêt de nos concitoyens. Nous ne favoriserons pas une mise en place étrangère en ce qui concerne le secteur de la santé, mais plutôt son développement compétitif, afin de préserver la place des médecins ivoiriens. Avec plus de 40 % de l'offre de soins, le secteur privé est crucial. Nous encourageons son rôle complémentaire au secteur public, et la Couverture maladie universelle sera un atout pour sécuriser les investissements », a-t-il indiqué au nom de son ministre.
Non sans informer que la régularisation des établissements illégaux est en cours, avec l'objectif ambitieux de ‘’zéro clinique illégale d'ici à 2025’’. « J'invite le Synamepci à sensibiliser ses membres afin qu'ils s'inscrivent dans cette dynamique. La réforme hospitalière favorisera la collaboration entre les secteurs public et privé, optimisant ainsi nos ressources pour le bien-être des populations », a-t-il conclu.
Quant au représentant du président du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), parrain de la cérémonie, Dr Alain Diaha, vice-président du Cesec, il a assuré de l’engagement de l’institution à soutenir les initiatives et à trouver des solutions aux besoins spécifiques du Synamepci. Ce, en surmontant les défis et faisant de la Côte d’Ivoire un phare de la santé et du bien-être.
Sur le thème "Trois décennies de dévouement syndical à l’avancement responsable du secteur privé de la santé", le président a appelé ses collègues médecins à s’unir. « Ensemble, nous pouvons influencer les politiques, remodeler les pratiques, et garantir un accès équitable aux soins de qualité pour tous les Ivoiriens », a-t-il insisté.
Il a par ailleurs lancé un appel aux autorités présentes afin qu’elles soient des partenaires du syndicat dans cette quête. Car, pour lui, le secteur privé médical est prêt à collaborer, à innover et à contribuer de manière significative à la réalisation de la vision d'un hub sanitaire en Côte d'Ivoire d'ici à 2030.
« Ensemble, avec détermination et responsabilité, nous pouvons transformer les défis en opportunités, les obstacles en succès. Que ces trente années ne soient pas seulement un chapitre, mais le prologue d'une ère où la médecine libérale en Côte d'Ivoire devient un phare d'excellence, guidant notre nation vers un avenir plus sain et plus prospère », a ajouté Dr Oné Madou Raphaël.
Représentant le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, le directeur de cabinet adjoint, chargé de la Couverture maladie universelle, Dr Coulibaly Soltié, s’est félicité de ce qu’en ces trente années, le syndicat s'est démarqué par son engagement en faveur de l'amélioration des conditions médicales dans le secteur privé.
Pour lui, cette maturité se reflète dans la collaboration avec le Conseil national de l'Ordre des médecins, démontrant ainsi une compréhension claire des rôles respectifs.
« Vos préoccupations, de la sécurité à la concurrence déloyale, sont entendues, et je vous assure de ma disponibilité pour trouver des solutions adaptées. Le gouvernement s'engage à faire de la Côte d'Ivoire un hub sanitaire d'ici à 2030, et dans l'intérêt de nos concitoyens. Nous ne favoriserons pas une mise en place étrangère en ce qui concerne le secteur de la santé, mais plutôt son développement compétitif, afin de préserver la place des médecins ivoiriens. Avec plus de 40 % de l'offre de soins, le secteur privé est crucial. Nous encourageons son rôle complémentaire au secteur public, et la Couverture maladie universelle sera un atout pour sécuriser les investissements », a-t-il indiqué au nom de son ministre.
Non sans informer que la régularisation des établissements illégaux est en cours, avec l'objectif ambitieux de ‘’zéro clinique illégale d'ici à 2025’’. « J'invite le Synamepci à sensibiliser ses membres afin qu'ils s'inscrivent dans cette dynamique. La réforme hospitalière favorisera la collaboration entre les secteurs public et privé, optimisant ainsi nos ressources pour le bien-être des populations », a-t-il conclu.
Quant au représentant du président du Conseil économique, social, environnemental et culturel (Cesec), parrain de la cérémonie, Dr Alain Diaha, vice-président du Cesec, il a assuré de l’engagement de l’institution à soutenir les initiatives et à trouver des solutions aux besoins spécifiques du Synamepci. Ce, en surmontant les défis et faisant de la Côte d’Ivoire un phare de la santé et du bien-être.