La rédactrice en chef de Fraternité Matin, Germaine Boni ( 3e à partir de la gauche) était aux cotés des lauréats. (Véronique Dadié)
La rédactrice en chef de Fraternité Matin, Germaine Boni ( 3e à partir de la gauche) était aux cotés des lauréats. (Véronique Dadié)
Cérémonie de remise conjointe des Prix Caidp et Bonne gouvernance : Fraternité Matin se taille la part du lion
C’est à la patinoire du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire que s’est tenue, dans la soirée du 6 décembre, la cérémonie conjointe de la 5e édition du prix Kébé Yacouba pour l’accès à l’information (Prix Caidp) et la 2e édition du prix spécial N’Golo Coulibaly pour la prévention, la lutte contre la corruption et les infractions assimilées (Prix Bonne gouvernance). La cérémonie de récompense a réuni des élus, des autorités administratives ainsi que le ban et l’arrière-ban du monde de la presse.
Le jury de la compétition a décerné à Émeline Péhé Amangoua du service Économie de Fraternité Matin, le Super prix N’Golo Coulibaly. Kanaté Mamadou du service Politique du premier quotidien ivoirien s’est, lui, adjugé la deuxième place. Et Tié Traoré Médandjé de la Nouvelle chaîne ivoirienne (Nci) a remporté le troisième prix. Concernant le prix Kébé Yacouba pour l’accès à l’information, Ly Aimé de Radio Côte d’Ivoire a été ceint de la couronne de premier. Juste après lui, Fatou Sylla du service Société de Fraternité Matin a raflé la deuxième place. Et Ernest Kouakou de la Radio Chandelier s’est vu attribuer le troisième rang. Marcelin Boguy du journal en ligne « Monde Actuel » a, lui, reçu le prix d’encouragement.
Dans leurs allocutions, Zoro Épiphane Ballo, président de la Haute autorité pour la bonne gouvernance ; Amadou Coulibaly, ministre de la Communication et Anne-Marie Konan Payne, présidente de la Commission d’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics, ont tous souligné l’importance d’un journalisme d’excellence, intègre, qui se rapproche des sources d’informations viables et crédibles, sa quête quotidienne d’information et qui se met au service de la lutte contre la corruption et les infractions assimilées.
A la faveur de cette cérémonie, un vibrant hommage a été rendu à N’Golo Coulibaly et à Kébé Yacouba, « deux personnalités au parcours exceptionnel dont nous sommes fiers », a affirmé Zoro Épiphane Ballo.
Il faut rappeler que l’an dernier, la journaliste Fatou Sylla avait remporté le super prix à la faveur de 1re édition du prix N’Golo Coulibaly. Émeline Péhé Amangoua avait été classée deuxième. Et Brigitte Guirathé avait obtenu la troisième place du prix Kébé Yacouba. Fraternité Matin, unique quotidien d’informations générales à avoir glané autant de prix aux éditions 2022 et 2023 des prix Kébé Yacouba et N’Golo Coulibaly, démontre, si besoin en est, que sa place de premier sur l’échiquier de la presse ivoirienne n’est pas usurpée.
Dans leurs allocutions, Zoro Épiphane Ballo, président de la Haute autorité pour la bonne gouvernance ; Amadou Coulibaly, ministre de la Communication et Anne-Marie Konan Payne, présidente de la Commission d’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics, ont tous souligné l’importance d’un journalisme d’excellence, intègre, qui se rapproche des sources d’informations viables et crédibles, sa quête quotidienne d’information et qui se met au service de la lutte contre la corruption et les infractions assimilées.
A la faveur de cette cérémonie, un vibrant hommage a été rendu à N’Golo Coulibaly et à Kébé Yacouba, « deux personnalités au parcours exceptionnel dont nous sommes fiers », a affirmé Zoro Épiphane Ballo.
Il faut rappeler que l’an dernier, la journaliste Fatou Sylla avait remporté le super prix à la faveur de 1re édition du prix N’Golo Coulibaly. Émeline Péhé Amangoua avait été classée deuxième. Et Brigitte Guirathé avait obtenu la troisième place du prix Kébé Yacouba. Fraternité Matin, unique quotidien d’informations générales à avoir glané autant de prix aux éditions 2022 et 2023 des prix Kébé Yacouba et N’Golo Coulibaly, démontre, si besoin en est, que sa place de premier sur l’échiquier de la presse ivoirienne n’est pas usurpée.