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Vbg: "16 jours d’activisme" pour prioriser l’investissement en faveur de la prévention
« Investir pour prévenir la violence à l’égard des femmes et des filles ». C’est sous ce thème qu’est placé la campagne annuelle internationale ‘‘16 jours d’activisme contre la violence faite aux femmes’’. Ce thème souligne l'importance de financer diverses stratégies de prévention pour éliminer cette violence inacceptable.
Du 25 novembre au 10 décembre, le monde entier commémore la campagne annuelle internationale ‘‘16 jours d’activisme contre la violence faite aux femmes’’. Comme l’indique le thème, les Nations Unies sont aux côtés du gouvernement pour renforcer l’investissement en faveur de la prévention des violences basées sur le genre, rapporte une communiqué du Bureau du Coordonnateur Résident des Nations Unies en Côte d’Ivoire transmis à Fratmat.info.
Le Cadre de Coopération des Nations Unies pour le Développement Durable qui s’étend de 2021 à 2025, souligne le communiqué, le Système des Nations Unies pour le Développement (SNUD) en Côte d’Ivoire a déjà mobilisé plus de 15,8 milliards FCFA (plus de 26 millions de dollars US) dans une quarantaine d'initiatives, en collaboration avec des partenaires nationaux et internationaux, pour prévenir et lutter contre ces violences afin de promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.
La commémoration de ces 16 jours d’activisme s’articulera autour de trois priorités, à savoir, investir dans la prévention des violences faites aux femmes ; investir dans la protection des survivantes des violences et investir dans des prestations de services essentiels plus adaptées pour les femmes.
Il s’agira au cours de cette campagne d’appuyer le Gouvernement et les acteurs impliqués dans la lutte contre les violences basées sur le genre (Vbg) dans des initiatives de plaidoyer, de sensibilisation et de mobilisation. Et ce, en faveur d’un investissement accru dans la prévention des Vbg en Côte d’Ivoire. Selon les Nations unies, parce que, « Nous payons tous le prix des violences faites aux femmes. Il est urgent d’investir pour y mettre fin ! »
Par ailleurs, le communiqué relève qu’au regard de la dernière Enquête démographique et de santé réalisée en 2021 en Côte d’Ivoire, parmi les femmes de 15-49 ans, 26% ont déclaré avoir subi des actes de violence physique. Et ce, depuis l’âge de 15 ans et 7% ont déjà subi des actes de violence sexuelle commis par un auteur quelconque. « Ces données soulignent la nécessité d'investissements substantiels et intégrés dans la prévention et la lutte contre les violences basées sur le genre pour garantir les droits sociaux et économiques des femmes et de leurs communautés », indique le communiqué.
Le Cadre de Coopération des Nations Unies pour le Développement Durable qui s’étend de 2021 à 2025, souligne le communiqué, le Système des Nations Unies pour le Développement (SNUD) en Côte d’Ivoire a déjà mobilisé plus de 15,8 milliards FCFA (plus de 26 millions de dollars US) dans une quarantaine d'initiatives, en collaboration avec des partenaires nationaux et internationaux, pour prévenir et lutter contre ces violences afin de promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.
La commémoration de ces 16 jours d’activisme s’articulera autour de trois priorités, à savoir, investir dans la prévention des violences faites aux femmes ; investir dans la protection des survivantes des violences et investir dans des prestations de services essentiels plus adaptées pour les femmes.
Il s’agira au cours de cette campagne d’appuyer le Gouvernement et les acteurs impliqués dans la lutte contre les violences basées sur le genre (Vbg) dans des initiatives de plaidoyer, de sensibilisation et de mobilisation. Et ce, en faveur d’un investissement accru dans la prévention des Vbg en Côte d’Ivoire. Selon les Nations unies, parce que, « Nous payons tous le prix des violences faites aux femmes. Il est urgent d’investir pour y mettre fin ! »
Par ailleurs, le communiqué relève qu’au regard de la dernière Enquête démographique et de santé réalisée en 2021 en Côte d’Ivoire, parmi les femmes de 15-49 ans, 26% ont déclaré avoir subi des actes de violence physique. Et ce, depuis l’âge de 15 ans et 7% ont déjà subi des actes de violence sexuelle commis par un auteur quelconque. « Ces données soulignent la nécessité d'investissements substantiels et intégrés dans la prévention et la lutte contre les violences basées sur le genre pour garantir les droits sociaux et économiques des femmes et de leurs communautés », indique le communiqué.