Gisèle N'Goran (au micro) veut promouvoir les métiers de l’esthétique. (Ph: Dr)
Bien-être et beauté : Les métiers de l’esthétique comme source d’autonomisation
L’esthéticienne est une personne formée aux soins non médicaux de la peau et du corps. Ceci inclut notamment des traitements de la peau, des soins du visage, l’épilation, des massages ou encore l’application de maquillage. Elle peut également vendre ou conseiller des produits cosmétiques adaptés à ses clients.
Fort de ce beau potentiel d’employabilité, Harmonica Institute, spécialisé dans la formation en esthétique, veut œuvrer pour l’autonomisation financière des femmes.
Gisèle N’Goran, la fondatrice de cet Institut, a indiqué, le 15 novembre, lors de l’ouverture officielle de son école, sis à Cocody, que cette initiative s’inscrit dans une volonté de contribuer à l’autonomisation des femmes et plus particulièrement de la jeune fille.
« A travers une formation en esthétique de luxe, nous voulons promouvoir l’entrepreneuriat et le leadership féminin, par l’insertion des jeunes filles dans le monde professionnel du secteur de l’esthétique, du luxe », a-t-elle expliqué avant d’ajouter que la formation s’étendra sur une période de deux mois, subdivisée en plusieurs modules, notamment le make-up, l’onglerie, la mycothérapie, le micro- prédis, le soin du visage complet, du corps.
Bien que très majoritairement féminin, ce métier attire de plus en plus d’hommes et s’exerce dans plusieurs officines, notamment les instituts de beauté, salons de coiffure, parfumeries, spas et hôtels, cabinets ou établissements.
Gisèle N’Goran, la fondatrice de cet Institut, a indiqué, le 15 novembre, lors de l’ouverture officielle de son école, sis à Cocody, que cette initiative s’inscrit dans une volonté de contribuer à l’autonomisation des femmes et plus particulièrement de la jeune fille.
« A travers une formation en esthétique de luxe, nous voulons promouvoir l’entrepreneuriat et le leadership féminin, par l’insertion des jeunes filles dans le monde professionnel du secteur de l’esthétique, du luxe », a-t-elle expliqué avant d’ajouter que la formation s’étendra sur une période de deux mois, subdivisée en plusieurs modules, notamment le make-up, l’onglerie, la mycothérapie, le micro- prédis, le soin du visage complet, du corps.
Bien que très majoritairement féminin, ce métier attire de plus en plus d’hommes et s’exerce dans plusieurs officines, notamment les instituts de beauté, salons de coiffure, parfumeries, spas et hôtels, cabinets ou établissements.