Ph:DR
Le diable se cache dans les détails
Du 13 janvier au 11 février 2024, la Côte d’Ivoire organisera la 34e Coupe d’Afrique des nations.
Pour cette Can de l’hospitalité, le pays se mobilise et se prépare depuis plusieurs semaines pour la réussite de cette messe du football continental.
Une fête du ballon rond pour laquelle le gouvernement a investi 500 milliards de F Cfa pour la construction d’infrastructures sportives et connexes.
Ainsi que 3 stades sortis de terre à Yamoussoukro, Korhogo et San Pedro.
Autant d’efforts qui doivent être récompensés au soir de la compétition.
En tout cas, le comité d’organisation piloté par François Albert Amichia est sur le bon chemin.
Tous les observateurs sont unanimes pour dire que ce rendez-vous en terre ivoirienne peut marquer positivement l’histoire du football africain.
Il appartient donc au Cocan de prendre possession de tous les sites, les stades, de tout ce qui concerne l’événement.
Et ce, pour permettre aux volontaires de se familiariser avec les différents arcanes. Pour les guides et autres hôtesses, c’est important de pouvoir orienter le visiteur, lui donner les informations nécessaires. Affiner la stratégie de transport.
En deux mois, on peut rattraper beaucoup de choses. Car il y a encore des détails à parfaire.
Entre autres, il faut revoir la configuration de la tribune de presse où il n’y a pas assez de places assises pour permettre aux hommes de médias de bien faire leur boulot.
Elle peut être réaménagée, en augmentant sa capacité. Imaginons le match Égypte-Ghana qui va se jouer dans ce stade.
Nous risquons d’avoir de petits soucis tout comme la salle de conférences de presse et celle des médias. Sensibiliser les forces de l’ordre, leur enseigner la patience, etc.
La Côte d’Ivoire peut réussir ce pari. Pourvu que chacun y mette du sien.
Ne rien banaliser, car le diable, dit-on, se cache dans les détails .
Une fête du ballon rond pour laquelle le gouvernement a investi 500 milliards de F Cfa pour la construction d’infrastructures sportives et connexes.
Ainsi que 3 stades sortis de terre à Yamoussoukro, Korhogo et San Pedro.
Autant d’efforts qui doivent être récompensés au soir de la compétition.
En tout cas, le comité d’organisation piloté par François Albert Amichia est sur le bon chemin.
Tous les observateurs sont unanimes pour dire que ce rendez-vous en terre ivoirienne peut marquer positivement l’histoire du football africain.
Il appartient donc au Cocan de prendre possession de tous les sites, les stades, de tout ce qui concerne l’événement.
Et ce, pour permettre aux volontaires de se familiariser avec les différents arcanes. Pour les guides et autres hôtesses, c’est important de pouvoir orienter le visiteur, lui donner les informations nécessaires. Affiner la stratégie de transport.
En deux mois, on peut rattraper beaucoup de choses. Car il y a encore des détails à parfaire.
Entre autres, il faut revoir la configuration de la tribune de presse où il n’y a pas assez de places assises pour permettre aux hommes de médias de bien faire leur boulot.
Elle peut être réaménagée, en augmentant sa capacité. Imaginons le match Égypte-Ghana qui va se jouer dans ce stade.
Nous risquons d’avoir de petits soucis tout comme la salle de conférences de presse et celle des médias. Sensibiliser les forces de l’ordre, leur enseigner la patience, etc.
La Côte d’Ivoire peut réussir ce pari. Pourvu que chacun y mette du sien.
Ne rien banaliser, car le diable, dit-on, se cache dans les détails .