Mame Omar Diop, chef du bureau Unesco en Côte d’Ivoire, attend beaucoup de cette rencontre
Éducation: Un atelier régional de l’Unesco planche sur les premiers résultats des indicateurs de base
En vue de renforcer les capacités des pays concernés, l’Unesco, à travers l’Institut International de Planification de l’Education (Iipe-Unesco) et le bureau régional de Dakar, ont organisé un atelier régional sur la qualité des données, l’analyse et la communication des premiers résultats des indicateurs de base.
L’éducation pour la santé et le bien-être étant essentielle pour permettre aux enfants et aux jeunes d'acquérir des connaissances précises, des valeurs positives, ainsi que les compétences nécessaires pour prendre des décisions éclairées, l’atelier se tient du 10 au 13 Octobre 2023 à Abidjan-Plateau. Le programme de renforcement des capacités de l’Institut International de Planification de l’Education de l’Unesco (Iipe-Unesco) et le bureau régional de Dakar vise à fournir une assistance technique à 11 pays qui souhaitent intégrer des indicateurs liés à la santé et au genre dans les systèmes d'information sur la gestion de l'éducation (Sige).
« Les jeunes et adolescents, sur le plan de la santé, font face à de grands défis. Face à ce constat, nous œuvrons à apporter des réponses notamment à travers la mise en œuvre de mécanismes de prévention et de lutte contre le Vih/Sida et autres maladies sexuellement transmissibles. Cependant, sans des données précises, fiables et de qualité, nous n’aurions la capacité de mieux orienter nos approches. C’est en cela que cet atelier prend toute sa pertinence car un solide Système d'Information pour la Gestion de l'Education peut changer la donne », a annoncé Mame Omar Diop, chef du bureau Unesco en Côte d’Ivoire.
Face à la situation des adolescents et des jeunes dans la région (Aoc - Afrique de l’ouest et du centre), les ministres de l’éducation et de la santé de 25 pays ont proclamé l’engagement de l’Aoc pour des adolescents et des jeunes éduqués, en bonne santé et épanouis.
Pour être efficace, l’éducation pour la santé et le bien être doit être adaptée au contexte et au genre, aux groupes d'âge et aux facteurs géographiques. Elle nécessite également des enseignants hautement qualifiés et motivés, ainsi que l'engagement des parents et des communautés dans sa mise en œuvre.
A en croire les organisateurs, cette activité a pour objectif, d’une part, de renforcer la qualité et le processus de collecte de données des Sige et d’autre part, de soutenir la qualité de l’analyse des données et la diffusion des premiers résultats sur les indicateurs de base via une note technique standardisée.
Plusieurs pays étaient représentés entre autres : le Burkina Faso, le Cameroun, le Congo, la Côte d’Ivoire, le Gabon, le Ghana, le Mali, le Niger, le Nigeria, la République Démocratique du Congo et le Sénégal.
« Les jeunes et adolescents, sur le plan de la santé, font face à de grands défis. Face à ce constat, nous œuvrons à apporter des réponses notamment à travers la mise en œuvre de mécanismes de prévention et de lutte contre le Vih/Sida et autres maladies sexuellement transmissibles. Cependant, sans des données précises, fiables et de qualité, nous n’aurions la capacité de mieux orienter nos approches. C’est en cela que cet atelier prend toute sa pertinence car un solide Système d'Information pour la Gestion de l'Education peut changer la donne », a annoncé Mame Omar Diop, chef du bureau Unesco en Côte d’Ivoire.
Face à la situation des adolescents et des jeunes dans la région (Aoc - Afrique de l’ouest et du centre), les ministres de l’éducation et de la santé de 25 pays ont proclamé l’engagement de l’Aoc pour des adolescents et des jeunes éduqués, en bonne santé et épanouis.
Pour être efficace, l’éducation pour la santé et le bien être doit être adaptée au contexte et au genre, aux groupes d'âge et aux facteurs géographiques. Elle nécessite également des enseignants hautement qualifiés et motivés, ainsi que l'engagement des parents et des communautés dans sa mise en œuvre.
A en croire les organisateurs, cette activité a pour objectif, d’une part, de renforcer la qualité et le processus de collecte de données des Sige et d’autre part, de soutenir la qualité de l’analyse des données et la diffusion des premiers résultats sur les indicateurs de base via une note technique standardisée.
Plusieurs pays étaient représentés entre autres : le Burkina Faso, le Cameroun, le Congo, la Côte d’Ivoire, le Gabon, le Ghana, le Mali, le Niger, le Nigeria, la République Démocratique du Congo et le Sénégal.