Les énarques visitant un stand. (Dr)
SARA 2023: L’Ecole nationale d’administration s’imprègne
Le Salon de l’agriculture et des ressources animales et halieutiques (Sara), débuté le 29 septembre 2023 bat son plein. Et le monde se bouscule toujours pour y participer. Même l’entrée, désormais payante à la modique somme de 1000 F, n’a pas émoussé la volonté du monde agricole d’exhiber les fruits de la terre et les savoir-faire de tout l’écosystème du secteur primaire.
Dans cette ambiance, les futurs hauts cadres de l’administration ivoirienne, notamment les étudiants de l’Ecole nationale d’administration (Ena) ont pris d’assaut les deux centres d’exposition et visité de fond en comble les stands d’exposition.
Yamoussa Touré et El Hadj Koné Yamoussa, tous deux du cycle moyen supérieur, filière douane sont de ceux-là. Ils y participent pour la première fois. « Le pilier fondamental de notre économie, c’est l’agriculture. Et il est important pour nous, en tant que futurs cadres du pays, d’avoir les notions fondamentales sur l’agriculture », a indiqué le premier cité. « On nous forme pour ne plus être des bureaucrates.
Le Sara est donc une excellente occasion pour nous d’être sur le terrain pour en savoir plus sur l’entrepreneuriat, sur l’écosystème agricole et toutes ses implications. Nous avons appris beaucoup et le Sara suscite en nous plein d’idées également », a renchéri El Hadj. En tout cas, les étudiants de l’Ena ont essaimé le centre d’exposition de Port-Bouet pour tremper dans le pragmatisme.
Yamoussa Touré et El Hadj Koné Yamoussa, tous deux du cycle moyen supérieur, filière douane sont de ceux-là. Ils y participent pour la première fois. « Le pilier fondamental de notre économie, c’est l’agriculture. Et il est important pour nous, en tant que futurs cadres du pays, d’avoir les notions fondamentales sur l’agriculture », a indiqué le premier cité. « On nous forme pour ne plus être des bureaucrates.
Le Sara est donc une excellente occasion pour nous d’être sur le terrain pour en savoir plus sur l’entrepreneuriat, sur l’écosystème agricole et toutes ses implications. Nous avons appris beaucoup et le Sara suscite en nous plein d’idées également », a renchéri El Hadj. En tout cas, les étudiants de l’Ena ont essaimé le centre d’exposition de Port-Bouet pour tremper dans le pragmatisme.