AbidjanMediaForum
« Abidjan média forum » : Les hommes doivent faire la promotion des femmes dans les médias, selon Gbadamassi (Franceinfo)
Falilia Gbadamassi, journaliste à la rédaction Culture du site de l’information de France télévision, Franceinfo a déclaré que les hommes doivent faire la promotion des femmes dans les medias. Et d’ajouter que le rôle des femmes n’est pas de dire aux hommes ce que ceux-ci doivent penser. C’était à l’occasion d’Abidjan média forum où elle se prononçait sur le sous-thème : « La femme dans les médias ». Cette rencontre s’est déroulée à Abidjan en ce mois de septembre 2023, autour d’un thème central : « Leadership et promotion des femmes dans les médias face aux difficultés du secteur à l’ère de l’économie sociale et solidaire ».
La deuxième édition d’Abidjan media forum(Amf) organisée par L’Intelligent d’Abidjan, dans le cadre des festivités marquant ses vingt (20) ans a donc été l’occasion de débattre sur ce sujet qui a rassemblé six (6) panélistes qui se sont prononcés sur ce thème.
Lanciné Camara, président de l’Union internationale des journalistes africains (Uija) ; Falilia Gbadamassi, journaliste à la rédaction Culture du site de l’information de France télévision, Franceinfo ; John Dossavi Ayité, président du Réseau africain des promoteurs et entrepreneurs culturels (Rapec) et initiateur de la journée mondiale de la culture africaine et afro descendante ; Dr Cheick Omar Diallo, juriste, communicant en sciences politiques, fondateur de l’école de l’art oratoire de Dakar ; Aboubacar Sylla, cadre d’appui à l’innovation et à l’entreprenariat social et solidaire (Ong Capi-Ess) et de Mariam Doumbouya, une responsable d’Ong ont développé des sous thèmes, portant sur « La femme dans les medias : états des lieux » ; « La femme de media et valeur culturelle » ; « Les dispositions juridiques ou légales prévues pour la promotion de la femme de media » et « L’impact de l’économie sociale et solidaire dans le processus de leadership de la femme »
John Dossavi Ayité développant a demandé aux femmes d’aller arracher le pouvoir dans les rédactions. Pour lui, les femmes n’ont rien à envier aux hommes-journalistes parce qu’elles ont du talent. Le juriste sénégalais Cheick Omar Diallo a demandé que la Côte d’Ivoire copie sur son pays. Où les dispositions juridiques et légales prévues exigent une représentation de 30% de femmes dans toutes les instances.
Quant à Aboubacar Sylla qui a abordé « L’impact de l’économie sociale et solidaire dans le processus de leadership de la femme », il a révélé qu’il y a des financements internationaux tant pour les femmes que pour les hommes. Aussi a-t-il encouragé ces dernières à aller les chercher.
Pour Mariam Doumbouya, responsable d’Ong a déclaré que les femmes africaines ont leadership affirmé. Et que cela peut se faire dans les médias.
Lanciné Camara, président de l’Union internationale des journalistes africains (Uija) ; Falilia Gbadamassi, journaliste à la rédaction Culture du site de l’information de France télévision, Franceinfo ; John Dossavi Ayité, président du Réseau africain des promoteurs et entrepreneurs culturels (Rapec) et initiateur de la journée mondiale de la culture africaine et afro descendante ; Dr Cheick Omar Diallo, juriste, communicant en sciences politiques, fondateur de l’école de l’art oratoire de Dakar ; Aboubacar Sylla, cadre d’appui à l’innovation et à l’entreprenariat social et solidaire (Ong Capi-Ess) et de Mariam Doumbouya, une responsable d’Ong ont développé des sous thèmes, portant sur « La femme dans les medias : états des lieux » ; « La femme de media et valeur culturelle » ; « Les dispositions juridiques ou légales prévues pour la promotion de la femme de media » et « L’impact de l’économie sociale et solidaire dans le processus de leadership de la femme »
John Dossavi Ayité développant a demandé aux femmes d’aller arracher le pouvoir dans les rédactions. Pour lui, les femmes n’ont rien à envier aux hommes-journalistes parce qu’elles ont du talent. Le juriste sénégalais Cheick Omar Diallo a demandé que la Côte d’Ivoire copie sur son pays. Où les dispositions juridiques et légales prévues exigent une représentation de 30% de femmes dans toutes les instances.
Quant à Aboubacar Sylla qui a abordé « L’impact de l’économie sociale et solidaire dans le processus de leadership de la femme », il a révélé qu’il y a des financements internationaux tant pour les femmes que pour les hommes. Aussi a-t-il encouragé ces dernières à aller les chercher.
Pour Mariam Doumbouya, responsable d’Ong a déclaré que les femmes africaines ont leadership affirmé. Et que cela peut se faire dans les médias.