Bonne gouvernance-Fonsti. (DR)
Développement durable : Le Fonsti prône la bonne gouvernance
Conscient que la bonne gouvernance est un enjeu majeur pour le développement de la société ivoirienne, le Fonds pour la science, la technologie et l’innovation (Fonsti) a organisé une conférence-débat, le 18 juillet 2023 à Novotel Plateau-Abidjan.
Cette table ronde a permis de comprendre les enjeux afin de trouver des solutions pour la promotion de la gouvernance durable. Elle a également permis de déterminer une approche harmonisée et rationalisée de l’évaluation de la gouvernance en Côte d’Ivoire. Le professeur Coulibaly Lacina, président de l’Université Polytechnique de Man a soutenu que pour atteindre les objectifs de développement durable dans tous les domaines en l’occurrence l’agriculture, la santé, l’emploi... il faut une bonne gouvernance.
Prenant le cas des énergies renouvelables, il a expliqué qu’en plus des efforts de l’Etat, il faut également la contribution de la recherche pour critiquer et soutenir les activités qui doivent être menées afin d’améliorer les résultats. Concluant, il a rassuré que la recherche ivoirienne est productive et agissante. Cependant, il faut qu’elle renforce sa capacité au niveau de sa recherche de développement pour favoriser des résultats impactant dans l’atteinte des objectifs.
Intervenant à son tour, M. Diamoutene Oumar directeur des études, de la coordination, de l’évaluation et de l’assistance (Decea), à la Haute autorité pour la bonne gouvernance (Habg), a pour sa part déclaré que pour atteindre le développement durable dans un environnement social avec une croissance économique, il revient à chaque personne de faire des efforts sous la cohérence et la coordination de l’état de Côte d’Ivoire. Toutefois, il s’est félicité de l’avancée considérable de son pays en matière d’état de la gouvernance, ces dernières années. Ce grâce aux réformes juridiques institutionnelles entreprises par la Côte d’Ivoire dans le cadre du Programme national de développement (PND) 2016-2020.
Il en veut pour preuve, l’indice de perception de la corruption dans l’administration publique, le pays a gagné 13 places en dix ans, selon le cabinet Mo Ibrahim, ce pays est passé de la 33è place en 2010 à la 20e place avec un score de 54, 2 sur 100 en 2022. Il a par ailleurs invité le gouvernement à poursuivre la sensibilisation, la formation et le renforcement des capacités de tous les acteurs impliqués dans la promotion de la bonne gouvernance.
Initiateur de cette conférence qui a eu pour thème : « Gouvernance : défis, stratégies et perspectives » Dr Sangaré Yaya, secrétaire général du Fonsti a remercié les différentes institutions qui ont pris part à cette rencontre. Il s’est réjoui de la présentation des réponses de la science à la problématique de la bonne gouvernance, des actions et des avancées sur le plan national en matière de bonne gouvernance.
Prenant le cas des énergies renouvelables, il a expliqué qu’en plus des efforts de l’Etat, il faut également la contribution de la recherche pour critiquer et soutenir les activités qui doivent être menées afin d’améliorer les résultats. Concluant, il a rassuré que la recherche ivoirienne est productive et agissante. Cependant, il faut qu’elle renforce sa capacité au niveau de sa recherche de développement pour favoriser des résultats impactant dans l’atteinte des objectifs.
Intervenant à son tour, M. Diamoutene Oumar directeur des études, de la coordination, de l’évaluation et de l’assistance (Decea), à la Haute autorité pour la bonne gouvernance (Habg), a pour sa part déclaré que pour atteindre le développement durable dans un environnement social avec une croissance économique, il revient à chaque personne de faire des efforts sous la cohérence et la coordination de l’état de Côte d’Ivoire. Toutefois, il s’est félicité de l’avancée considérable de son pays en matière d’état de la gouvernance, ces dernières années. Ce grâce aux réformes juridiques institutionnelles entreprises par la Côte d’Ivoire dans le cadre du Programme national de développement (PND) 2016-2020.
Il en veut pour preuve, l’indice de perception de la corruption dans l’administration publique, le pays a gagné 13 places en dix ans, selon le cabinet Mo Ibrahim, ce pays est passé de la 33è place en 2010 à la 20e place avec un score de 54, 2 sur 100 en 2022. Il a par ailleurs invité le gouvernement à poursuivre la sensibilisation, la formation et le renforcement des capacités de tous les acteurs impliqués dans la promotion de la bonne gouvernance.
Initiateur de cette conférence qui a eu pour thème : « Gouvernance : défis, stratégies et perspectives » Dr Sangaré Yaya, secrétaire général du Fonsti a remercié les différentes institutions qui ont pris part à cette rencontre. Il s’est réjoui de la présentation des réponses de la science à la problématique de la bonne gouvernance, des actions et des avancées sur le plan national en matière de bonne gouvernance.