Les parties prenantes au projet. (Ph: Dr)

Cette positivité du bilan est également caractérisée par le fait que « nous avons pu doter en matériel didactique et technico-pédagogique les autres instituteurs, les autres enseignants qui n’avaient pas été pris en compte par le projet. Nous avons réussi à faire cela grâce aux fonds qui ont été alloués par l’Agence universitaire de la francophonie (Auf)... Nous avons pu ajouter d’autres enseignants du primaire et les enseignants du Cafop et les enseignants pédagogiques de secteur. Ensuite pendant la Covid, nous avons pu continuer la formation des enseignants avec pour outils des plateformes au nombre de trois (3). Il s’agit de la plateforme des instituteurs, celle des directeurs d’écoles primaires et préscolaires et enfin une autre pour les chefs d’établissement », a-t-elle expliqué.

Ouattara Fatoumata souhaite qu’en plus du bilan positif, il faut envisager « la pérennisation de ce projet à travers les efforts conjugués de tous les participants, les superviseurs, les enseignants? etc. »

Rappelons que ce projet a été lancé en 2018 et a été financé par l’Agence française de développement (Afd) à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2d).