Le BIT forme sur la création des emplois verts. (Ph: Dr)
Réchauffement climatique : Grand-Bassam abrite une formation pour la création des emplois verts
À l’instar de nombreux pays, la Côte d’Ivoire veut faire face au réchauffement climatique en mettant en place des politiques de promotion des emplois verts.
Pour y arriver, le pays avec l’appui financier du Bureau international du travail (Bit) abrite du 22 au 24 mai 2023, à Grand-Bassam, un atelier de formation autour du projet « La dimension sociale de la transition écologique ».
Un projet qui vient aider et expliquer à la compréhension de l’impact réel du changement climatique sur les emplois, les vies des personnes et aussi les accompagner afin de définir des politiques pour promouvoir davantage des emplois verts et sauver la planète.
Pour le coordinateur dudit projet, N’Goran Koffi Marcos, l’autre aspect important reste la dimension sociale. « Nous donnons des outils à la Côte d’Ivoire pour pouvoir faire une bonne transition...Nous changeons de paradigme sur la manière de produire des richesses... », a-t-il précisé.
Et d’indiquer que ce projet est issu du programme « Les actions climatiques pour l’emploi », un programme des Nations unies pour accompagner les pays qui ont mis en place des politiques de promotion des emplois verts.
À cet atelier qui réunit les acteurs issus de différents secteurs de l'économie et de la société, Fabien Roche, chercheur en économie, consultant pour le compte de l’Oit et par ailleurs formateur, a fait savoir que l’objectif est de passer des modèles pour les chercheurs et les instituts afin qu’ils créent leurs propres analyses pour les politiques liées au changement climatique et aux emplois verts.
A cette rencontre de trois jours, Pr Goné Droh Lanciné, directeur de l’Ufr des Sciences et gestion de l’environnement de l’Université Nangui Abrogoua dit attendre beaucoup.
Pour lui, il est clair qu’avec le changement climatique, il y a des emplois verts qui seront créés et d’autres qui disparaîtront...Il est donc important qu’au niveau de la politique, tout soit évalué.
« Cet atelier permettra de faire la comptabilisation et de maîtriser les logiciels nécessaires pour faire cette évaluation », a-t-il déclaré. Avant de révéler que les Universités Nangui Abrogoua à Abidjan et Cheikh Anta Diop à Dakar ont été cooptés par l’Oit pour la conduite dudit projet.
Un projet qui vient aider et expliquer à la compréhension de l’impact réel du changement climatique sur les emplois, les vies des personnes et aussi les accompagner afin de définir des politiques pour promouvoir davantage des emplois verts et sauver la planète.
Pour le coordinateur dudit projet, N’Goran Koffi Marcos, l’autre aspect important reste la dimension sociale. « Nous donnons des outils à la Côte d’Ivoire pour pouvoir faire une bonne transition...Nous changeons de paradigme sur la manière de produire des richesses... », a-t-il précisé.
Et d’indiquer que ce projet est issu du programme « Les actions climatiques pour l’emploi », un programme des Nations unies pour accompagner les pays qui ont mis en place des politiques de promotion des emplois verts.
À cet atelier qui réunit les acteurs issus de différents secteurs de l'économie et de la société, Fabien Roche, chercheur en économie, consultant pour le compte de l’Oit et par ailleurs formateur, a fait savoir que l’objectif est de passer des modèles pour les chercheurs et les instituts afin qu’ils créent leurs propres analyses pour les politiques liées au changement climatique et aux emplois verts.
A cette rencontre de trois jours, Pr Goné Droh Lanciné, directeur de l’Ufr des Sciences et gestion de l’environnement de l’Université Nangui Abrogoua dit attendre beaucoup.
Pour lui, il est clair qu’avec le changement climatique, il y a des emplois verts qui seront créés et d’autres qui disparaîtront...Il est donc important qu’au niveau de la politique, tout soit évalué.
« Cet atelier permettra de faire la comptabilisation et de maîtriser les logiciels nécessaires pour faire cette évaluation », a-t-il déclaré. Avant de révéler que les Universités Nangui Abrogoua à Abidjan et Cheikh Anta Diop à Dakar ont été cooptés par l’Oit pour la conduite dudit projet.