Les participants au networking saluent l'initiative (Bavane)
Accès à l’immobilier en Côte d’Ivoire: Des opportunités et défis du secteur présentés à la diaspora ivoirienne
Un after networking organisé le 28 avril 2023, par le Club 225-33, a permis à la diaspora ivoirienne en Europe de s’informer sur le secteur immobilier en Côte d’Ivoire.
Sous le parrainage du ministère de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, cet after networking avait pour thème : « La diaspora ivoirienne au cœur de l’intégration entrepreneuriale : Immobilier : offres-acquisitions-financements ».
Ce rendez-vous qui a réuni des Ivoiriens de la diaspora européenne, des établissements financiers, banques, le ministère en charge de la Construction, des organismes internationaux, des experts, des promoteurs, a permis durant 2 heures d’échanger sur les opportunités et défis que présente le marché immobilier pour la diaspora, ainsi que des moyens pour investir dans leur pays d’origine.
« Une satisfaction pour nous d’avoir abordé les défis auxquels sont confrontés les investisseurs immobiliers de la diaspora, notamment la distance, la gestion de la propriété à distance et les différences culturelles. Nous allons explorer les différentes solutions pratiques proposées par le ministère de la Construction, les banques, la Cnps et autres structures pour surmonter les obstacles et réaliser des investissements fructueux », s’est réjouie Miriam Bamba, promotrice d’after networking de la diaspora.
Elle s’est aussi félicitée de la qualité des échanges et des opportunités offertes par les structures participantes qui ont toutefois répondu aux attentes d’Abdoulaye Touré, président de Diapora One, un regroupement d'Ivoiriens de l’extérieur y compris ceux qui sont candidats au retour en Côte d’Ivoire.
« C’est une bonne opportunité. Vous savez, il y a différentes problématiques que le candidat au retour au pays doit résoudre », a fait savoir Abdoulaye Touré. Et de souligner qu’il est important que la voix de la diaspora et l’ensemble de ces problématiques soient portées à l’attention des décideurs.
Mais pour que cela se fasse, il dit qu’il faut que la diaspora parle d’une seule voix, qu’elle soit unie et ait un minimum de consensus sur les propositions de solutions afin que leur mise en œuvre puisse faciliter le retour au pays. Mais surtout permettre à la Côte d’Ivoire de capitaliser la force que constitue la diaspora ivoirienne.
Cette diaspora, dit-il, veut participer activement au développement du pays. Mais que cela soit amplifié pour faciliter d’abord la bonne information, ensuite que certains textes tiennent compte de la particularité et de la spécificité de la diaspora en termes de capacité de mobilisation de ressources, d’accès au financement et pouvoir venir en prospection.
« Au sein de la diaspora ivoirienne, il y a toutes les compétences. Notamment des spécialistes en intelligence artificielle, des électromécaniciens, des agro-industriels. En sommes tout ce dont la Côte d’Ivoire a besoin aujourd’hui se trouve au sein de la diaspora. Nous sommes une force économique, ressource humaine de qualité et nous voulons participer au développement de notre pays », a lancé le président de Diaspora One.
Ce rendez-vous qui a réuni des Ivoiriens de la diaspora européenne, des établissements financiers, banques, le ministère en charge de la Construction, des organismes internationaux, des experts, des promoteurs, a permis durant 2 heures d’échanger sur les opportunités et défis que présente le marché immobilier pour la diaspora, ainsi que des moyens pour investir dans leur pays d’origine.
« Une satisfaction pour nous d’avoir abordé les défis auxquels sont confrontés les investisseurs immobiliers de la diaspora, notamment la distance, la gestion de la propriété à distance et les différences culturelles. Nous allons explorer les différentes solutions pratiques proposées par le ministère de la Construction, les banques, la Cnps et autres structures pour surmonter les obstacles et réaliser des investissements fructueux », s’est réjouie Miriam Bamba, promotrice d’after networking de la diaspora.
Elle s’est aussi félicitée de la qualité des échanges et des opportunités offertes par les structures participantes qui ont toutefois répondu aux attentes d’Abdoulaye Touré, président de Diapora One, un regroupement d'Ivoiriens de l’extérieur y compris ceux qui sont candidats au retour en Côte d’Ivoire.
« C’est une bonne opportunité. Vous savez, il y a différentes problématiques que le candidat au retour au pays doit résoudre », a fait savoir Abdoulaye Touré. Et de souligner qu’il est important que la voix de la diaspora et l’ensemble de ces problématiques soient portées à l’attention des décideurs.
Mais pour que cela se fasse, il dit qu’il faut que la diaspora parle d’une seule voix, qu’elle soit unie et ait un minimum de consensus sur les propositions de solutions afin que leur mise en œuvre puisse faciliter le retour au pays. Mais surtout permettre à la Côte d’Ivoire de capitaliser la force que constitue la diaspora ivoirienne.
Cette diaspora, dit-il, veut participer activement au développement du pays. Mais que cela soit amplifié pour faciliter d’abord la bonne information, ensuite que certains textes tiennent compte de la particularité et de la spécificité de la diaspora en termes de capacité de mobilisation de ressources, d’accès au financement et pouvoir venir en prospection.
« Au sein de la diaspora ivoirienne, il y a toutes les compétences. Notamment des spécialistes en intelligence artificielle, des électromécaniciens, des agro-industriels. En sommes tout ce dont la Côte d’Ivoire a besoin aujourd’hui se trouve au sein de la diaspora. Nous sommes une force économique, ressource humaine de qualité et nous voulons participer au développement de notre pays », a lancé le président de Diaspora One.