Bamba Semon recevant son trophée
Coopération CI/UE : L’Observatoire africain pour la promotion de la bonne gouvernance distingue Bamba Semon
Le Coordonnateur National de la Cellule de Coordination de la Coopération Côte d’Ivoire- Union Européenne Bamba Semon figurait sur la liste les lauréats de l’Observatoire africain pour la promotion de la bonne gouvernance. Lors de 6e édition du dîner gala organisé, en cette fin de fête d’année 2022, au Sofitel Abidjan hôtel ivoire à cet effet, il a reçu sa distinction, à savoir, le Prix du meilleur Coordonnateur de cellule de coopération et de gestion de l’aide communautaire mise à la disposition de la Côte d’Ivoire.
Une longue expérience de la coopération avec les partenaires au développement
Du Ministère du Plan et du Développement, en passant par le PNUD à Abidjan et aujourd’hui à la tête de la Cellule de Coordination de la Coopération Côte d’Ivoire/Union européenne (CCCCI/UE) depuis 2017, M. Bamba Semon, ingénieur statisticien diplômé de l’Ecole Nationale de Statistique et de l’Economie Appliquée d’Abidjan(ENSEA). Il est également diplômé de l’Institut d’Administration des Entreprises de l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne. C’est dire que M. Bamba a une longue expérience de la coopération avec les partenaires au développement.
Il faut noter que la Cellule de Coordination de la Coopération CI/UE est une structure nationale sous la tutelle du Ministère de l’Economie et des Finances. Elle a en charge d’apporter un appui technique au dialogue quotidien avec la Délégation de l’UE en Côte d‘Ivoire. Elle intervient dans la préparation et la mise en œuvre des conventions bénéficiant des financements de l’UE.
Signalons que M. Bamba a achevé avec efficacité la mise en œuvre du 10e Fonds Européen de Développement (FED). D’un montant initial de 143 milliards FCFA, cette enveloppe a été presque doublée par des appuis exceptionnels à 274 milliards FCFA, engagée à hauteur de 91%.
Par ses actions, il a aussi contribué à la mise en œuvre du 11e FED, dont certains programmes sont en cours. D’un montant de 202 milliards FCFA, le 11e FED a été engagé à plus de 99%. Ces ressources ont permis d’apporter des appuis substantiels aux secteurs de la santé, de l’éducation-formation, de l’eau et assainissement, de l’énergie, de la justice et des droits de l’homme, du commerce, de la bonne gouvernance, de l’agriculture, du foncier rural et de la société civile.
GALA PHOTO CI UE 2
Une longue expérience de la coopération avec les partenaires au développement
Du Ministère du Plan et du Développement, en passant par le PNUD à Abidjan et aujourd’hui à la tête de la Cellule de Coordination de la Coopération Côte d’Ivoire/Union européenne (CCCCI/UE) depuis 2017, M. Bamba Semon, ingénieur statisticien diplômé de l’Ecole Nationale de Statistique et de l’Economie Appliquée d’Abidjan(ENSEA). Il est également diplômé de l’Institut d’Administration des Entreprises de l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne. C’est dire que M. Bamba a une longue expérience de la coopération avec les partenaires au développement.
Il faut noter que la Cellule de Coordination de la Coopération CI/UE est une structure nationale sous la tutelle du Ministère de l’Economie et des Finances. Elle a en charge d’apporter un appui technique au dialogue quotidien avec la Délégation de l’UE en Côte d‘Ivoire. Elle intervient dans la préparation et la mise en œuvre des conventions bénéficiant des financements de l’UE.
Signalons que M. Bamba a achevé avec efficacité la mise en œuvre du 10e Fonds Européen de Développement (FED). D’un montant initial de 143 milliards FCFA, cette enveloppe a été presque doublée par des appuis exceptionnels à 274 milliards FCFA, engagée à hauteur de 91%.
Par ses actions, il a aussi contribué à la mise en œuvre du 11e FED, dont certains programmes sont en cours. D’un montant de 202 milliards FCFA, le 11e FED a été engagé à plus de 99%. Ces ressources ont permis d’apporter des appuis substantiels aux secteurs de la santé, de l’éducation-formation, de l’eau et assainissement, de l’énergie, de la justice et des droits de l’homme, du commerce, de la bonne gouvernance, de l’agriculture, du foncier rural et de la société civile.
Les actions menées en matière de redynamisation du secteur de la santé
Plus spécifiquement, dans le secteur de la santé, les actions menées en matière de redynamisation du secteur ont permis entre autres, la construction de 4 centres de santé urbains et la réhabilitation d’une trentaine (30) d’établissements sanitaires de premier contact dans les régions de Bouaké, Man et San-Pedro ; l’équipement en matériels médicaux et biomédicaux de 50 formations sanitaires dans 4 régions notamment Abidjan, Bouaké, Man et San-Pedro ; l’équipement des directions centrales du Ministère en charge la Santé et de l’Hygiène Publique et de 10 districts sanitaires en véhicules (13 véhicules de type 4x4) ; et, l’acquisition de 16 ambulances médicalisées au profit de formations sanitaires dans les régions d’Abidjan, Bouaké, Man et San-Pedro.
Dans le secteur de l’énergie, les appuis ont contribué à l’optimisation du système de distribution et d’efficacité énergétique, au renforcement des réseaux électriques et des capacités institutionnelles. Ces financements ont facilité la construction du nouveau dispatching national de Yamoussoukro et le remplacement d’environ 100 000 lanternes par des lanternes SHP haute pression économes en énergie. Les villes d’Abidjan, Bouaké et San-Pedro ont bénéficié d’importants travaux de renforcement et d’extension des postes sources et du réseau HTA ; la mise en place de la télé-conduite du réseau HTA ; la construction de plus de 261 postes. Dans le cadre de la coopération avec l’UE, ce sont aussi plus de 60 032 nouveaux ménages qui bénéficient d’une connexion électrique améliorée grâce à la réhabilitation et 46 356 nouveaux abonnés dans les villes de Bouaké et San-Pedro. Par ailleurs, dix-huit (18) villages ont été électrifiés à travers des mini réseaux (Diésel-Photovoltaïque) hors réseau.
Dans le secteur de l’énergie, les appuis ont contribué à l’optimisation du système de distribution et d’efficacité énergétique, au renforcement des réseaux électriques et des capacités institutionnelles. Ces financements ont facilité la construction du nouveau dispatching national de Yamoussoukro et le remplacement d’environ 100 000 lanternes par des lanternes SHP haute pression économes en énergie. Les villes d’Abidjan, Bouaké et San-Pedro ont bénéficié d’importants travaux de renforcement et d’extension des postes sources et du réseau HTA ; la mise en place de la télé-conduite du réseau HTA ; la construction de plus de 261 postes. Dans le cadre de la coopération avec l’UE, ce sont aussi plus de 60 032 nouveaux ménages qui bénéficient d’une connexion électrique améliorée grâce à la réhabilitation et 46 356 nouveaux abonnés dans les villes de Bouaké et San-Pedro. Par ailleurs, dix-huit (18) villages ont été électrifiés à travers des mini réseaux (Diésel-Photovoltaïque) hors réseau.
Secteur agricole, la sécurisation du foncier rural et la production vivrière
Concernant le secteur agricole, la sécurisation du foncier rural et la production vivrière ont constitué les priorités des actions de l’UE donnant lieu à des avancées notables sur la question de la sécurisation foncière. Les actions mises en œuvre dans le cadre de la coopération avec l’UE, ont soutenu l’opérationnalisation de l’Agence Foncière Rural (AFOR) et, induit la signature de 2 022 arrêtés de Délimitation des Territoires Villageois (DTV) depuis septembre 2021, la délivrance de 7 506 Certificats Fonciers via le Système Informatique Foncière (SIF) ainsi que la signature 6 000 baux ruraux entre les exploitants et les propriétaires terriens ayant le certificat foncier dans le département de Mankono.
Quant à la production vivrière, elle bénéficie de l’introduction de nouvelles variétés de manioc (IBA1 ; IBA2 ; IBA3 ; Karibu) et de nouvelles techniques culturales, notamment l’installation de 11 Serres équipées et opérationnelles dont 10 au profit d’agro entrepreneurs et une serre pédagogique de l’INFPA.
En matière de bonne gouvernance, la réforme des finances publiques et les mesures en faveur des secteurs sociaux, de la justice, de l’emploi et la protection sociale, de la sécurité et de l’administration du territoire, et de l’amélioration du climat des affaires, ont guidé l’action de l’UE. Ainsi, ce sont 267 millions d’euros, soit 175 milliards de FCFA qui auront été décaissés sur la période 2012-2022 au profit du Trésor Ivoirien, dans le cadre de programmes d’appuis budgétaires successifs visant à soutenir les efforts du gouvernement dans la conduite de ses réformes majeures définies dans le PND.
Notons par ailleurs, que des actions constantes visant à renforcer les capacités de la société civile en vue de l’associer davantage à la conduite des politiques publiques, sont également mises en œuvre.
Sur d’autres financement de l’UE, notamment les lignes budgétaires, sous l’autorité du Coordonnateur National, M. Bamba Semon, les filières bananes et sucre ont bénéficié d’appuis de l’UE à hauteur de 74,35 millions d’euros, soit 49 milliards FCFA.
Quant à la production vivrière, elle bénéficie de l’introduction de nouvelles variétés de manioc (IBA1 ; IBA2 ; IBA3 ; Karibu) et de nouvelles techniques culturales, notamment l’installation de 11 Serres équipées et opérationnelles dont 10 au profit d’agro entrepreneurs et une serre pédagogique de l’INFPA.
En matière de bonne gouvernance, la réforme des finances publiques et les mesures en faveur des secteurs sociaux, de la justice, de l’emploi et la protection sociale, de la sécurité et de l’administration du territoire, et de l’amélioration du climat des affaires, ont guidé l’action de l’UE. Ainsi, ce sont 267 millions d’euros, soit 175 milliards de FCFA qui auront été décaissés sur la période 2012-2022 au profit du Trésor Ivoirien, dans le cadre de programmes d’appuis budgétaires successifs visant à soutenir les efforts du gouvernement dans la conduite de ses réformes majeures définies dans le PND.
Notons par ailleurs, que des actions constantes visant à renforcer les capacités de la société civile en vue de l’associer davantage à la conduite des politiques publiques, sont également mises en œuvre.
Sur d’autres financement de l’UE, notamment les lignes budgétaires, sous l’autorité du Coordonnateur National, M. Bamba Semon, les filières bananes et sucre ont bénéficié d’appuis de l’UE à hauteur de 74,35 millions d’euros, soit 49 milliards FCFA.
Des acquis engrangés dans les filières banane et sucre
Dans la filière banane, l’un des acquis phares a été la création de deux grands blocs de 200 hectares chacun avec l’appui technique de certains partenaires de la Cellule. Ces blocs de production fonctionnent et sont animés par 20 jeunes ivoiriens qui perçoivent chacun un revenu mensuel minimum de 1 million de FCFA. Ces jeunes appelés « entrepreneurs ruraux » emploient environ 200 ouvriers.
Dans la filière sucre, l’amélioration de la productivité, la recherche cannière et le renforcement de la gestion environnementale dans les complexes sucriers ont été les éléments clés de l’intervention de l’UE. Ceci a permis la revalorisation du revenu brut annuel des femmes dans les complexes sucriers et l’extension des superficies des plantations de cannes villageoises (de 501,17 ha pour Zuénoula ; 295 ha pour Borotou et 250ha à Ferké 2)
Placé sous le signe de l’excellence et du mérite, le dîner-gala de l’Observatoire africain qui regroupe en son sein, plusieurs journalistes, communicateurs et assimilés de toutes obédiences, basés sur le continent africain, vise à faire la promotion des cadres et compétences.
Dans la filière sucre, l’amélioration de la productivité, la recherche cannière et le renforcement de la gestion environnementale dans les complexes sucriers ont été les éléments clés de l’intervention de l’UE. Ceci a permis la revalorisation du revenu brut annuel des femmes dans les complexes sucriers et l’extension des superficies des plantations de cannes villageoises (de 501,17 ha pour Zuénoula ; 295 ha pour Borotou et 250ha à Ferké 2)
Placé sous le signe de l’excellence et du mérite, le dîner-gala de l’Observatoire africain qui regroupe en son sein, plusieurs journalistes, communicateurs et assimilés de toutes obédiences, basés sur le continent africain, vise à faire la promotion des cadres et compétences.