Nutrition saine des élèves dans les cantines : Le Fonsti lance un projet de 10 millions de FCfa
Lutter efficacement contre l’insécurité alimentaire chez les élèves en Côte d’Ivoire, les maintenir dans le système éducatif et leur fournir une nutrition équilibrée. C’est l’objectif du projet lancé par le Fonds pour la science, la technologie et l'innovation (Fonsti) ce mardi 13 décembre 2022, à l’Ufr Biosciences de l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody.
Selon l’enquête Mics 2016, la Côte d’Ivoire fait face à une situation de malnutrition chronique infantile avec une prévalence de retard de croissance de 21,6 %. Surtout au nord du pays, la malnutrition chronique en protéine-énergétique est élevée du fait d’une alimentation qualitative et diversifiée limitée.
Pour y remédier, le Fonsti vient de financer à hauteur de dix (10) millions de FCfa, le projet Valegumci « Transformation de légumineuses locales cultivées pour la transformation de viandes végétales valeurs nutritionnelles ajoutées dans une approche de lutte durable contre la malnutrition infantile ».
Au nom de Dr Yaya Sangaré, Secrétaire général du Fonsti, Mme Ouattara Zeinebou responsable département de gestion de projet, a présenté l’intérêt de ce projet. A l’en croire, c'est une opportunité pour combler les besoins en protéines des élèves dans les cantines scolaires, mais il permettra également d’aider les communautés à résoudre les problèmes de transformation de perte post-récolte.
Pour elle, ce projet favorisera l’autonomisation des femmes rurales pour la production des légumineuses, tout en développant l’économie locale. De manière concrète, il réduira la pauvreté des ménages agricoles au nord de la Côte d’Ivoire et, au-delà, contribuera à l’amélioration des conditions de vie des populations ivoiriennes.
Au nom de la Direction des cantines scolaires, Fokouo Galbert, spécialiste en nutrition, a salué le Fonsti pour son engagement. Il a réitéré la volonté de sa structure d’appuyer le fonds pour la réussite dudit projet. Tout en rassurant de leur regard sur l’exécution de l’activité, les Professeurs Kouakou Essetchi Paul, doyen de l’Ufr Bioscience et N’Guetta Simon Pierre, directeur du laboratoire de biotechnologie agriculture et valorisation des ressources biologiques, ont, eux aussi, remercié le Fonsti pour la confiance et l’appui financier.
Portant le projet, la coordinatrice, Dr Doué Ginette épse Boadou, a, lors de son exposé, indiqué que l’activité a une durée de 12 mois.
Pour y remédier, le Fonsti vient de financer à hauteur de dix (10) millions de FCfa, le projet Valegumci « Transformation de légumineuses locales cultivées pour la transformation de viandes végétales valeurs nutritionnelles ajoutées dans une approche de lutte durable contre la malnutrition infantile ».
Au nom de Dr Yaya Sangaré, Secrétaire général du Fonsti, Mme Ouattara Zeinebou responsable département de gestion de projet, a présenté l’intérêt de ce projet. A l’en croire, c'est une opportunité pour combler les besoins en protéines des élèves dans les cantines scolaires, mais il permettra également d’aider les communautés à résoudre les problèmes de transformation de perte post-récolte.
Pour elle, ce projet favorisera l’autonomisation des femmes rurales pour la production des légumineuses, tout en développant l’économie locale. De manière concrète, il réduira la pauvreté des ménages agricoles au nord de la Côte d’Ivoire et, au-delà, contribuera à l’amélioration des conditions de vie des populations ivoiriennes.
Au nom de la Direction des cantines scolaires, Fokouo Galbert, spécialiste en nutrition, a salué le Fonsti pour son engagement. Il a réitéré la volonté de sa structure d’appuyer le fonds pour la réussite dudit projet. Tout en rassurant de leur regard sur l’exécution de l’activité, les Professeurs Kouakou Essetchi Paul, doyen de l’Ufr Bioscience et N’Guetta Simon Pierre, directeur du laboratoire de biotechnologie agriculture et valorisation des ressources biologiques, ont, eux aussi, remercié le Fonsti pour la confiance et l’appui financier.
Portant le projet, la coordinatrice, Dr Doué Ginette épse Boadou, a, lors de son exposé, indiqué que l’activité a une durée de 12 mois.