
La présidente mondiale de la Plamfe, Désirée Djoman (au micro) attend beaucoup des assises de Kigali. (Ph: Dr)
La présidente mondiale de la Plamfe, Désirée Djoman (au micro) attend beaucoup des assises de Kigali. (Ph: Dr)
Leadership féminin : L’Afrique féminine qui gagne se concerte à Kigali
Créer les conditions de la relance du leadership féminin en Afrique. C’est cette problématique qui sera décortiquée au cour de la 6e édition du Forum International Women Meet Up à Kigali au Rwanda. Et ce, à l’initiative de la Plateforme mondiale des femmes entreprenantes (Plamfe), présidée par l’Ivoirienne Désiré Djomand. L’annonce a été faite le 30 mai, face à la presse locale et internationale, à l’hôtel « 2000 hôtel Kigali », en plein cœur de la capitale rwandaise.
Venues de 25 pays d’Afrique, ces femmes entreprenantes et innovantes des secteurs de l’entrepreneuriat, de l’administration, du secteur privé, de l’agriculture et biens d’autres, se donnent ainsi l’occasion de partager leurs expériences pour imposer le leadership féminin. Mais surtout trouver des stratégies et moyens pour repositionner la femme en cette période post-Covid. Qui a eu des répercussions négatives sur l’ensemble de la planète.
« Nous devons faire en sorte de prendre la place qui est la nôtre dans les instances de décision, pour faire avancer l’humanité... », précise Marthe Rabbiosi, la secrétaire générale de la Plamfe Côte d’Ivoire. D’où le thème général du forum : « Leadership féminin : Innover dans le leadership féminin pour accélérer la relance post-Covid ».
La présidente mondiale de la Plamfe, l’Ivoirienne Désiré Djomand, a expliqué que le leadership ne renvoie pas forcément à une question de positionnement. Pour elle, le leader est une personne impressionnante dont les qualités de vie emmènent d’autres personnes à la suivre et qui sait valoriser son entourage en donnant les rudiments à d’autres personnes pour avancer. C’est pour cela qu’elle demande aux femmes de redoubler d’ingéniosité. Pour elle, le forum sera une occasion de donner des outils aux femmes pour leur épanouissement tant social que professionnel.
Une des armes pour atteindre cet objectif est, selon elle, le réseautage. « Nous avons de très belles réussites individuelles, mais il est encore difficile de travailler ensemble. Or, c’est l’addition de nos expertises qui peut nous aider à avancer... », estime Désiré Djomand.
Une autre difficulté pour l’affirmation de la femme dans la plupart des États, fait remarquer la cheffe de la délégation ivoirienne, la maire Agnès Monnet d’Agou, est le manque de financement. Au Rwanda, cette problématique, selon Laetitia Mogabo, la Pca de la Plamfe locale, n’est pas une préoccupation. Du fait d’une politique de financement des femmes initiée par le Président Paul Kagamé.
En retour, les femmes présentes à Kigali promettent de distinguer, au cour d’un dîner à la fin du forum, le chef de l’État rwandais et tous ceux qui militent pour l’épanouissement de la femme.
Plusieurs questions seront débattues au Forum International Women Meet Up, qui s’ouvre officiellement, demain. Selon la présidente du comité scientifique, Esther Lida, dix ateliers et quatre panels de haut niveau meubleront ces assises. Des thèmes parmi lesquels le leadership, la place de la femme dans l’agriculture, la santé et autres seront débattus.
Le maire de la ville de Kigali et la présidente du parlement rwandais sont annoncés parmi les panélistes. Toutes ces activités seront sanctionnées par un appel dit de Kigali. Outre la maire Agnès Monnet, la sénatrice ivoirienne Émilienne Anikpo participe au Forum international.
Envoyé spécial à Kigali au Rwanda
« Nous devons faire en sorte de prendre la place qui est la nôtre dans les instances de décision, pour faire avancer l’humanité... », précise Marthe Rabbiosi, la secrétaire générale de la Plamfe Côte d’Ivoire. D’où le thème général du forum : « Leadership féminin : Innover dans le leadership féminin pour accélérer la relance post-Covid ».
La présidente mondiale de la Plamfe, l’Ivoirienne Désiré Djomand, a expliqué que le leadership ne renvoie pas forcément à une question de positionnement. Pour elle, le leader est une personne impressionnante dont les qualités de vie emmènent d’autres personnes à la suivre et qui sait valoriser son entourage en donnant les rudiments à d’autres personnes pour avancer. C’est pour cela qu’elle demande aux femmes de redoubler d’ingéniosité. Pour elle, le forum sera une occasion de donner des outils aux femmes pour leur épanouissement tant social que professionnel.
Une des armes pour atteindre cet objectif est, selon elle, le réseautage. « Nous avons de très belles réussites individuelles, mais il est encore difficile de travailler ensemble. Or, c’est l’addition de nos expertises qui peut nous aider à avancer... », estime Désiré Djomand.
Une autre difficulté pour l’affirmation de la femme dans la plupart des États, fait remarquer la cheffe de la délégation ivoirienne, la maire Agnès Monnet d’Agou, est le manque de financement. Au Rwanda, cette problématique, selon Laetitia Mogabo, la Pca de la Plamfe locale, n’est pas une préoccupation. Du fait d’une politique de financement des femmes initiée par le Président Paul Kagamé.
En retour, les femmes présentes à Kigali promettent de distinguer, au cour d’un dîner à la fin du forum, le chef de l’État rwandais et tous ceux qui militent pour l’épanouissement de la femme.
Plusieurs questions seront débattues au Forum International Women Meet Up, qui s’ouvre officiellement, demain. Selon la présidente du comité scientifique, Esther Lida, dix ateliers et quatre panels de haut niveau meubleront ces assises. Des thèmes parmi lesquels le leadership, la place de la femme dans l’agriculture, la santé et autres seront débattus.
Le maire de la ville de Kigali et la présidente du parlement rwandais sont annoncés parmi les panélistes. Toutes ces activités seront sanctionnées par un appel dit de Kigali. Outre la maire Agnès Monnet, la sénatrice ivoirienne Émilienne Anikpo participe au Forum international.
Envoyé spécial à Kigali au Rwanda