Rania Dindane, vainqueur du concours chez les 6-7 ans. (Ph : Dr)
Équitation/Youngster Tour : Rania Dindane marque encore des points
Rania Dindane, la jeune cavalière internationale ivoirienne, enfile les victoires à la pelle. La semaine dernière encore, la fille d’Aruna Dindane (ancien attaquant vedette de l’équipe nationale de football), qui porte désormais les couleurs de la nation ivoirienne à travers l’Europe, a brillé de mille feux. Rania a remporté haut la main le concours Youngster Tour qui s’est déroulé sur deux jours (16 et 17 mars dernier) à Lierre, en Belgique.
Dans la catégorie réservée aux chevaux de 6-7 ans, la jeune amazone ivoirienne de 13 ans, sur le dos de Diabolique Tms Z, une jument issue de Tal Milstein Stables, s’est imposée avec trois secondes d’avance devant Benjamin Wulschner (2e) et Ethan As (Gelha’s Vdl Emilion) pour Joe Whitaker avec Lyleine sous la selle.
Guy Janssens et Energy van’t Breezerhof Z, eux, sont restés au pied du podium en pointant à la quatrième place. Rania est ensuite tombée les armes à la main (deuxième) lors du concours des chevaux de 7 ans. Une belle performance qui réjouit le cœur des amoureux de l’équitation en Côte d’Ivoire. Surtout que cela permet à la cavalière de glaner des points en vue d’améliorer son ranking international et, pourquoi pas, des grandes compétitions à venir.
En tout cas, sur leur plateforme dédiée en Côte d’Ivoire, c’était la joie après le dernier concours auquel a participé Rania. Que des notes de félicitation ! Et dire que la jeune championne ivoirienne a été inscrite à ce concours à la dernière minute.
« Nous avons dû user de notre leadership pour qu’elle puisse participer à ces épreuves internationales », a confié le président Stéphane Ouégnin, qui ne cesse de traduire sa gratitude et celle de la Fédération ivoirienne d’équitation (Fie) aux parents de l’athlète, surtout à la mère de Rania, une ancienne championne belge qui est également son coach.
Grâce à Rania, le nom de la Côte d’Ivoire figure au classement Eurohorse comptant pour les Longines ranking, aux côtés des grands pays de l’équitation tels que l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas, l’Irlande, Israël, l’Australie, l’Italie et bien d’autres.
« C’est cela notre ambition pour la Côte d’Ivoire. Voir notre pays se développer à travers le sport et se hisser au niveau des meilleures nations de ce monde », a poursuivi Stéphane Ouégnin.
Dès lors, l’on comprend sa grosse colère contre ces clubs vivant sur le territoire ivoirien et qui osent s’affilier à la fédération d’un pays étranger. Comme s’ils remettaient en cause l’indépendance de la Côte d’Ivoire acquise pourtant en 1960.
Guy Janssens et Energy van’t Breezerhof Z, eux, sont restés au pied du podium en pointant à la quatrième place. Rania est ensuite tombée les armes à la main (deuxième) lors du concours des chevaux de 7 ans. Une belle performance qui réjouit le cœur des amoureux de l’équitation en Côte d’Ivoire. Surtout que cela permet à la cavalière de glaner des points en vue d’améliorer son ranking international et, pourquoi pas, des grandes compétitions à venir.
En tout cas, sur leur plateforme dédiée en Côte d’Ivoire, c’était la joie après le dernier concours auquel a participé Rania. Que des notes de félicitation ! Et dire que la jeune championne ivoirienne a été inscrite à ce concours à la dernière minute.
« Nous avons dû user de notre leadership pour qu’elle puisse participer à ces épreuves internationales », a confié le président Stéphane Ouégnin, qui ne cesse de traduire sa gratitude et celle de la Fédération ivoirienne d’équitation (Fie) aux parents de l’athlète, surtout à la mère de Rania, une ancienne championne belge qui est également son coach.
Grâce à Rania, le nom de la Côte d’Ivoire figure au classement Eurohorse comptant pour les Longines ranking, aux côtés des grands pays de l’équitation tels que l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas, l’Irlande, Israël, l’Australie, l’Italie et bien d’autres.
« C’est cela notre ambition pour la Côte d’Ivoire. Voir notre pays se développer à travers le sport et se hisser au niveau des meilleures nations de ce monde », a poursuivi Stéphane Ouégnin.
Dès lors, l’on comprend sa grosse colère contre ces clubs vivant sur le territoire ivoirien et qui osent s’affilier à la fédération d’un pays étranger. Comme s’ils remettaient en cause l’indépendance de la Côte d’Ivoire acquise pourtant en 1960.