
La sphère des Ong de soutien aux enfants déshérités s’agrandit avec une nouvelle organisation dénommée Sahkai (le bien que je fais en langue Yacouba)
La sphère des Ong de soutien aux enfants déshérités s’agrandit avec une nouvelle organisation dénommée Sahkai (le bien que je fais en langue Yacouba)
Bienfaisance : Une Ong s’engage aux côtés des enfants déshérités
La sphère des Ong de soutien aux enfants déshérités s’agrandit. Avec notamment, l’entrée en scène d’une nouvelle organisation dénommée Sahkai (le bien que je fais en langue Yacouba), qui a officiellement, lancé ses activités, le vendredi 3 septembre 2021, au Plateau.
A l’occasion, sa présidente, Julie Gainsa, a indiqué que sa structure compte, dans les prochains jours, voler au secours des enfants issus de familles économiquement faibles, en leur offrant des kits scolaires et alimentaires, mais aussi, en payant leur scolarité.
Elle a ajouté que l’Ong Sahkai envisage, dans son programme d’activité 2021, d’accentuer son appui aux organisations caritatives (Pouponnières, orphelinats) en termes de fournitures scolaires, de nourriture et le règlement des scolarités.
Pour la rentrée scolaire 2021-2022, elle annonce des dons aux institutions sociales installées à Adiaké et Grand-Bassam.
« Par nos actions, nous voulons sensibiliser les populations sur les bienfaits de l’éducation en général et de l’école en particulier. Nous voulons aller au contact des populations dans les villages et campements reculés pour apporter notre contribution à la scolarisation des enfants. Afin de leur donner une chance de réussite » a-t-elle insisté.
Elle a ajouté que l’Ong Sahkai envisage, dans son programme d’activité 2021, d’accentuer son appui aux organisations caritatives (Pouponnières, orphelinats) en termes de fournitures scolaires, de nourriture et le règlement des scolarités.
Pour la rentrée scolaire 2021-2022, elle annonce des dons aux institutions sociales installées à Adiaké et Grand-Bassam.
« Par nos actions, nous voulons sensibiliser les populations sur les bienfaits de l’éducation en général et de l’école en particulier. Nous voulons aller au contact des populations dans les villages et campements reculés pour apporter notre contribution à la scolarisation des enfants. Afin de leur donner une chance de réussite » a-t-elle insisté.