
Michel Akpangni, Directeur général de Sucrivoire (2e à partir de la droite) s’est réjoui de ce projet qui va certainement assurer l’employabilité des jeunes. (DR)
Michel Akpangni, Directeur général de Sucrivoire (2e à partir de la droite) s’est réjoui de ce projet qui va certainement assurer l’employabilité des jeunes. (DR)
Industrie sucrière : Un projet de formation lancé à l’intention de 70 opérateurs pivots
Permettre à Sucrivoire, filiale du groupe agro-industriel (Sifca), de disposer d’opérateurs pivots qualifiés et compétents, capables de conduire et faire la maintenance des équipements avec un niveau d’autonomisation avancé.
C’est l’objectif du projet de formation d’opérateurs pivots initié par l’entreprise, en partenariat avec le Fonds de développement de la formation professionnelle (Fdfp) et le Cabinet d’accompagnement en management des performances (Ipce) partners.
Ledit projet est destiné à 70 jeunes titulaires du Brevet technique dans les domaines de l’énergie, de l’électromécanique et de la maintenance du système de production. La cérémonie de lancement officiel a eu lieu, le 4 mars, à l’hôtel Novotel au Plateau.
A l’occasion, Michel Akpangni, Directeur général de Sucrivoire, a présenté les enjeux du projet. « Le pivot est un système d’irrigation apportant de l’eau aux parcelles de canne à sucre par aspersion. C’est une rampe mobile pouvant mesurer 650m de long et capable, dans des mouvements rotatifs, de satisfaire les besoins en eau d’une parcelle de plus de 85 ha, en 24h. Notre société a décidé de moderniser ses pivots et de faire assurer une partie de leur maintenance par des opérateurs bien formés », a indiqué Michel Akpangni.
Le patron de cette société de production de sucre a souligné que cette formation certifiant au profit des exploitants pivots vise à développer leurs compétences à la fois théoriques et pratiques et assurer leur employabilité.
La conseillère du Secrétaire général du Fdfp, Rachel Liabra, a, pour sa part, félicité et encouragé les dirigeants de cette entreprise, qui ont compris le bien-fondé d’un tel projet. Profitant de la tribune, Rachel Liabra a rappelé que la formation professionnelle offre un avantage compétitif aux entreprises à travers le développement du capital humain. « Celles-ci doivent se l’approprier et s’en servir constamment pour assurer leur survie et leur progression dans cet univers économique dynamique », a-t-elle poursuivi.
Ce projet prévu pour durer 8 mois sera conduit en deux phases, selon Adjo Toussaint, directeur de IpcePartners ; c’est-à-dire 3 mois de cours théoriques et 5 mois d’accompagnement.
Pour un financement d’environ 126 millions, soit 50% de contribution directe de l’entreprise et 50% apportés par le Fdfp. « Nous souhaitons que les opérateurs pivots aient une qualification réelle et que cela soit reconnu au travers de la formation pour développer l’économie ivoirienne qui repose sur l’agriculture », a-t-il laissé entendre.
Ledit projet est destiné à 70 jeunes titulaires du Brevet technique dans les domaines de l’énergie, de l’électromécanique et de la maintenance du système de production. La cérémonie de lancement officiel a eu lieu, le 4 mars, à l’hôtel Novotel au Plateau.
A l’occasion, Michel Akpangni, Directeur général de Sucrivoire, a présenté les enjeux du projet. « Le pivot est un système d’irrigation apportant de l’eau aux parcelles de canne à sucre par aspersion. C’est une rampe mobile pouvant mesurer 650m de long et capable, dans des mouvements rotatifs, de satisfaire les besoins en eau d’une parcelle de plus de 85 ha, en 24h. Notre société a décidé de moderniser ses pivots et de faire assurer une partie de leur maintenance par des opérateurs bien formés », a indiqué Michel Akpangni.
Le patron de cette société de production de sucre a souligné que cette formation certifiant au profit des exploitants pivots vise à développer leurs compétences à la fois théoriques et pratiques et assurer leur employabilité.
La conseillère du Secrétaire général du Fdfp, Rachel Liabra, a, pour sa part, félicité et encouragé les dirigeants de cette entreprise, qui ont compris le bien-fondé d’un tel projet. Profitant de la tribune, Rachel Liabra a rappelé que la formation professionnelle offre un avantage compétitif aux entreprises à travers le développement du capital humain. « Celles-ci doivent se l’approprier et s’en servir constamment pour assurer leur survie et leur progression dans cet univers économique dynamique », a-t-elle poursuivi.
Ce projet prévu pour durer 8 mois sera conduit en deux phases, selon Adjo Toussaint, directeur de IpcePartners ; c’est-à-dire 3 mois de cours théoriques et 5 mois d’accompagnement.
Pour un financement d’environ 126 millions, soit 50% de contribution directe de l’entreprise et 50% apportés par le Fdfp. « Nous souhaitons que les opérateurs pivots aient une qualification réelle et que cela soit reconnu au travers de la formation pour développer l’économie ivoirienne qui repose sur l’agriculture », a-t-il laissé entendre.