A moins de deux mois des élections présidentielles, des "amazones, des femmes battantes, dévouées du Front populaire ivoirien (Fpi)" ont décidé le 2 septembre, à Abidjan-Cocody, rue Lepic, de rejoindre le Rassemblement des houphouetistes pour la démocratie et la paix (Rhdp). « C’est par ce qu’il aime la Côte d’Ivoire plus que lui-même qu’il est resté. Ensemble, avec votre présence, nous allons lui assurer une victoire éclatante au soir du 31 octobre 2020 » a lancé la ministre Ramata Ly-Bakayoko à l’endroit de ces femmes.

Ces transfuges du Fpi entendent ainsi apporter leur soutien à la candidature de Alassane Ouattara. « Le Président Alassane Ouattara est pour la Côte d’Ivoire, le digne fils porteur d’espoir, et d’espérance. Il est la vraie solution, la solution indispensable. C’est pourquoi, le pays l’appelle une fois encore pour la continuation de son œuvre de développement, sa stabilité et la paix », a déclaré Mme Guéi Cathérine, Présidente de la Fédération des femmes du Front populaire ivoirien (Fpi). Et d’ajouter : « La Côte d’Ivoire a besoin de vous, les ivoiriens ont besoin de vous... »

Selon ces femmes et Tony Patchéko, le Président Alassane Ouattara est le mieux indiqué pour conduire la destinée de la Côte d’Ivoire, dans la paix, la cohésion, vers un développement certain et durable, vu ce qu’il a déjà fait pour ce pays en si peu de temps, et son esprit de tolérance.

Fort de toutes ses déclarations, le professeur Ramata Ly-Bakayoko, ministre de la femme, de la famille et de l’enfant, et coordonnatrice régionale du Rhdp dans la région du N’zi, chargées des femmes s’est félicité de la qualité du témoignage qui a été rendu au Président, basé sur du vécu, sur l’expérience des intervenants. « Vous avez montré que notre président Alassane Ouattara, notre candidat est un homme de pardon, vous avez montré aussi que c’est un homme de paix, un grand bâtisseur et qu’on ne peut pas cacher le soleil avec sa main... » a-t-elle déclaré.

Selon ses propos, le Président Alassane a changé la Côte d’Ivoire, et en a fait un pays respectable. C’est pour le pays qu’il a accepté d’être encore candidat, de répondre favorablement à la requête du conseil politique, des jeunes, des femmes et même de la société civile.

Source : Sercom ministre Ramata Ly-Bakayoko