Transfert: Bayo Vakoun heureux de fouler le Celtic Park

Le joueur ivoirien Bayo Vakoun
Le joueur ivoirien Bayo Vakoun
Le joueur ivoirien Bayo Vakoun

Transfert: Bayo Vakoun heureux de fouler le Celtic Park

C’était l’occasion également pour l’international ivoirien de livrer ses premières impressions sur son club et d’évoquer son nouveau challenge. « Je me sens bien et je suis heureux d’appartenir au Celtic », déclare le joueur sur le site web du club écossais. Avant de rappeler comment il a débarqué  chez les Vert et blanc. « Kolo m'a appelé à et m'a expliqué que le Celtic s'intéressait à moi. Je lui ai dit que j'étais aussi très intéressé », a révélé l’ancien buteur du Stade d’Abidjan.

Auteur de 18 réalisations en 23 matches, cette saison, avec le club de Dunajska Streda (Slovaquie), Bayo Vakoun suscite beaucoup de curiosité chez les Ecossais qui aimeraient le voir à l’œuvre.

Le même sentiment anime également le buteur qui a hâte de débuter sous ses nouvelles couleurs. «Je sais que je fais désormais partie d’un grand club et que je viens ici pour l’aider. Je suis impatient de rejoindre mes nouveaux coéquipiers. Mon objectif est de marquer autant de buts que possible et d’aider l’équipe à remporter des trophées », a-t-il ajouté.

Le milieu droit ivoirien, âgé de 21 ans, n’a aucune appréhension concernant le Scottish Premiership, un championnat qu’il découvre pourtant pour la première fois. Il compte sur le soutien de ses deux compatriotes présents dans ce club.

Outre Kolo Touré qui fait partie de l’encadrement technique, il y a Kouassi Eboué, le milieu de terrain ivoirien qui évolue depuis deux saisons dans le club. « Je connais Eboué Kouassi avec qui j’ai également parlé. Tout le monde connaît le  Celtic, mais il m’a expliqué ce qu’il en était réellement et quel club énorme je rejoignais », a-t-il précisé.

Issouf Bayo Vakoun compte aussi sur le soutien des supporters écossais réputés pour leur engagement pour leur équipe. « Je sais que les fans de Celtic soutiennent l’équipe. C’est le genre d’atmosphère que j’aime », a-t-il conclu.

Céleste Kolia