Grève dans l’enseignement: Le FPI demande la libération des leaders syndicaux mis aux arrêts

Agnes Monnet, Secrétaire générale et porte-paroles du Front populaire ivoirien
Agnes Monnet, Secrétaire générale et porte-paroles du Front populaire ivoirien
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Grève dans l’enseignement: Le FPI demande la libération des leaders syndicaux mis aux arrêts

Le FPI demande «la libération» des leaders syndicaux arrêtés. Ce parti «attaché à la liberté syndicale et aux libertés fondamentales, de façon générale, condamne avec fermeté l’arrestation des leaders syndicaux et demande leur libération immédiate et sans conditions», exhorte une déclaration de la SG, Agnès Monnet.

Pour le parti d’Affi N’Guessan, il est clair que les revendications des syndicats soient légitimes. Car, elles «portent essentiellement sur l’amélioration de leurs conditions de vie et leurs conditions de travail».

C’est pourquoi, cette formation politique appelle le gouvernement «à créer les conditions de paix dans le système éducatif en rapportant toutes les décisions de suspension et de révocation visant les leaders syndicaux», poursuit la note.

Comme le déplore la déclaration d’Agnès Monnet, «depuis quatre semaines, l’école ivoirienne est en crise tant au niveau du primaire, du secondaire que du supérieur».

Ces revendications ont par ailleurs débouché sur «des interpellations, des arrestations et à des incarcérations», comme c’est le cas de Kouassi Zamina Johnson, SG de la Coordination nationale des enseignants chercheurs (Cnec), regrette le parti.

Marcel APPENA
marcel.appena@fratmat.info