Présidentielle au Mali: Alassane Ouattara milite pour le respect du 28 juillet

Alassane Ouattara milite pour le respect du 28 juillet
Alassane Ouattara milite pour le respect du 28 juillet
Alassane Ouattara milite pour le respect du 28 juillet

Présidentielle au Mali: Alassane Ouattara milite pour le respect du 28 juillet

Présidentielle au Mali: Alassane Ouattara milite pour le respect du 28 juillet

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Le peuple malien doit pouvoir à présent compter sur l’expérience de sa classe politique et sur le soutien de la communauté internationale pour rendre irréversible la tenue de ces élections le 28 juillet prochain », a indiqué le Président ivoirien Alassane Ouattara, à Abuja, au Nigeria, mercredi, à l’ouverture des travaux de la 43ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (Cedeao).

D’entrée, le Chef de l’État ivoirien, par ailleurs président de la Cedeao, a exprimé son optimisme à l’ouverture de cette conférence.  « Notre conférence s’ouvre sous le signe de l’espoir et de l’optimisme, au regard de l’évolution positive et des perspectives de règlement durable des principales crises dans notre sous-région », a-t-il déclaré.

Alassane Ouattara en veut pour preuve, la perspective d’un retour rapide de l’ordre démocratique au Mali et en Guinée-Bissau. Aussi s’est-il « réjoui du consensus auquel sont parvenus les acteurs politiques en Guinée et au Togo en vue d’élections législatives apaisées ».

Pour le Chef de l'État ivoirien, la présente session permettra d’évaluer "les progrès enregistrés" depuis leur dernière rencontre afin de préciser les priorités et les orientations des  actions communes.

Selon lui, « l’attention doit également être portée sur la sécurisation et la pacification » des côtes et des eaux du golfe de Guinée. Et cela, à travers le renforcement des capacités nationales et la mise en œuvre des décisions du sommet de Yaoundé (Cameroun) de juin dernier.

« Je me réjouis de la décision de l’Union africaine de créer une force de réaction rapide, capable d’être déployée immédiatement en cas de nécessité. Nous devons aussi accélérer, en notre sein, la mise en place d’une politique et d’une capacité de défense adaptées aux menaces du moment », a indiqué Alassane Ouattara.


CHEICKNA D. Salif

salifou.dabou@fratmat.info

(Source: service presse-discours du Chef de l’État)