Coopération : Les États Unis renforcent les capacités des parlementaires ivoiriens

Philipp Carter III, ambassadeur des Usa
Philipp Carter III, ambassadeur des Usa
Philipp Carter III, ambassadeur des Usa

Coopération : Les États Unis renforcent les capacités des parlementaires ivoiriens

Coopération : Les États Unis renforcent les capacités des parlementaires ivoiriens

L’Ambassade des États-Unis, en Côte d’Ivoire en partenariat avec l’Assemblée nationale ivoirienne, ont annoncé, en fin de semaine, le lancement d’un nouveau programme financé par le gouvernement américain. Et ce, pour renforcer les capacités des membres de l’Assemblée nationale

Le gouvernement américain va engager plus de « 30 millions de dollars en vue des réformes institutionnelles et du renforcement des capacités dans des secteurs importants de la Côte d’Ivoire pour les six prochaines années », annoncé S.E.M. Phillip Carter III, ambassadeur des États Unis en Côte d'Ivoire.

Selon lui, l’objectif central de cette assistance américaine est « d’appuyer la Côte d’Ivoire en vue d’établir son autorité et la bonne gouvernance sur le territoire national ». Et ce, dans les domaines sécuritaires, des services et créer les conditions pour une relance économique pour le bien-être du peuple de Côte d’Ivoire.

Concernant toujours l’appui de son pays à la Côte d’Ivoire, l’ambassadeur américain a indiqué qu’il s’exprime « en termes de renforcement des capacités techniques, d’ordinateurs ». Et également en termes d’équipements de communication et des Smartphones que les Etats Unis ont prévu pour tous les députés ». Ce programme, a-t-il  précisé, est d’un coût total de 13 millions de dollars.

Par ailleurs, il a indiqué que son pays va « également mettre un accent sur le rôle des femmes députés et intervenir sur la question du genre dans le processus de prise de décision ».

« Nous continuerons de travailler en vue de renforcer les capacités collectives de ce groupe de femmes députés pour amplifier leur influence et représenter efficacement les intérêts de plus de la moitié de la population ivoirienne, c’est à dire les femmes », a conclu S.E.M. Phillipp Carter III.

 

CHEICKNA D. Salif

salifou.dabou@fratmat.info