Cdt Kouakou Édo (gendarmerie) :“C’est un sentiment de fierté, après 9 mois de dur labeur’’

C’est un sentiment de fierté parce qu’après 9 mois de dur labeur, nous sommes au terme de notre formation. Celle-ci a été un succès personnel, dans un premier temps, parce que je fais partie des meilleurs. Dans un second temps, un succès pour tous les Ivoiriens stagiaires qui ont passé brillamment les différents tests. Nous voulions profiter de cette occasion pour exprimer toute notre gratitude au Président de la République, le parrain de notre promotion. Il a permis aux officiers stagiaires d’effectuer une visite en Côte d’Ivoire. De l’avis de nos frères d’armes des autres pays, notre Etat, en reconstruction est sur la voie du développement, de l’émergence.

Cdt Franck Koffi Hervé (gendarmerie) : “C’est une grande fierté’’

C’est, pour moi, une grande émotion que d’être issu de cette promotion qui porte l’illustre nom de notre Président. C’est aussi une grande fierté d’avoir suivi avec succès les cours d’état-major. Je suis prêt à travailler pour mon pays dans le cadre des Forces en attente.

Cne Marius Yéo Yepsinan (sapeur-pompier militaire) : “Nous avons représenté dignement la Côte d’Ivoire’’

C’est un honneur doublé d’une joie d’avoir accompli ma mission et d’être au terme de ce stage dans cette école d’excellence. Nous avons représenté dignement la Côte d’Ivoire. Nous nous sommes très bien distingués au sein de cette promotion. C’est une joie parce que cette promotion porte le nom illustre de notre Président qui n’a ménagé aucun effort pour que notre séjour et notre formation se passent dans les meilleurs conditions. Je suis donc prêt à accomplir ma mission au service de mon pays et de l’Afrique entière.

Cne Hervé Kouassi (Frci) : “Je suis prêt à servir’’

Ce sont des sentiments de joie et de fierté qui m’animent. Joie pour cette cérémonie qui s’est bien déroulée à l’issue d’une formation difficile et intense. Fierté parce que diplômé d’état-major, je suis prêt à servir aussi bien en temps de paix dans un état-major organique qu’en temps de crise, dans un état-major opérationnel.

Propos recueillis par

Etienne  Aboua  envoyé spécial à Libreville