Le Président à son arrivée: "Je viens faire comprendre que les choses ont changé"

légende photo: le président Alassane Ouattara à sa descente de l'avion
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Le Président à son arrivée: "Je viens faire comprendre que les choses ont changé"

Le président à son arrivée: "Je viens faire comprendre que les choses ont changé"

 Arrivé à 11h 56mn, ce mardi 02 juillet, à l’aérodrome de Korhogo, le Président de la République Alassane Ouattara a été accueilli par le président de l’Assemblée nationale, Soro Guillaume, le Premier ministre Daniel Kablan Duncan et le maire de la ville par ailleurs secrétaire général de la Présidence Amadou Gon Coulibaly. Après les salutations, le Chef de l'État s’est adressé à la presse.

« Je viens expliquer aux populations, parents et Ivoiriens que le gouvernement et les institutions sont au travail. Nous pouvons être fiers de ce que la Côte d’Ivoire est redevenue. En tout cas, c’est ce que j’entends partout. Je voudrais leur dire que les voyages sont une opportunité de mieux faire connaître le pays, faire comprendre que les choses ont changé. Et que bientôt, ce sera un pays moderne et émergent », a-t-il dit avant de prendre un bain de foule et saluer les populations sorties pour l’accueillir.

Le Président de la République qui s’est dit très heureux d’être dans le district des savanes, a indiqué que cette visite aurait dû se faire bien avant. « J'aurais dû effectuer cette visite dès les premiers moments de mon installation. Mais les charges et la situation à Abidjan ne m'ont pas permis de la faire. J’ai mes jeunes frères Soro Guillaume, Amadou Gon, Sangafowa Coulibaly qui ont pu faire des déplacements en mon nom et dire aux populations du district des savanes que je viendrai au moment venu », a indiqué Alassane Ouattara.

Le Chef de l’État n’a pas manqué d’indiquer qu’après l’est, l’ouest et le nord, il se rendra bientôt dans le centre et dans le sud du pays. « C’est pour faire un point après avoir écouté les populations et voir comment elles apprécient ce que nous avons fait ces deux dernières années. Et si nous avons bien fait, qu’est-ce qu’il nous reste à faire? Comment allons-nous améliorer notre travail? Et enfin leur dire que nous avons toute une série de choses que nous allons terminer », a-t-il conclu.

Ouattara Ouakaltio

Envoyé spécial fratmat.info