Tourisme et hôtellerie: Le 1er ministre Amadou Gon Coulibaly inaugure le complexe « La rose blanche » à Korhogo

Tourisme et hôtellerie: Le 1er ministre Amadou Gon Coulibaly inaugure le complexe « La rose blanche » à Korhogo

C’était en présence des membres du gouvernement, des membres du corps préfectoral, des élus et cadres de la région. Le Chef du gouvernement a, dans son intervention, fait remarquer que dans la politique de développement de la Côte d’Ivoire du Président Alassane Ouattara, le tourisme constitue un pilier important.

C’est pourquoi il a tenu à féliciter le ministre Gilbert Koné Kafana qui a investi dans le secteur du tourisme. Au cours de cette cérémonie, il a rendu un vibrant hommage au maire de Yopougon pour toutes les actions qu’il a eu à poser au profit de Korhogo et de la Côte d’Ivoire.

Le qualifiant «d’homme rigoureux et travailleur », il a rappelé les réformes que Gilbert Kafana a faites et qui permettent à des structures dont la Caisse nationale de prévoyance sociale de mieux se porter aujourd’hui. Amadou Gon Coulibaly a invité tous les autres cadres de Korhogo et à travers eux, tous les cadres de la Côte d’Ivoire à contribuer au développement du tourisme en Côte d’Ivoire.

Auparavant, le ministre du tourisme et des Loisirs, Siandou Fofana, a salué, comme il se doit, Gilbert Koné Kafana et tous ceux qui investissent dans le tourisme. Convaincu que la réalisation de ce réceptif hôtelier crée des emplois. Il exhorte le personnel au travail bien fait. Il convient de noter qu’il y a dans la chaîne d’hôtel la rose Blanche, deux hôtels : un à Abidjan et l’autre à Korhogo.

Selon les initiateurs, ouvert en 1989 avec seulement 10 chambres, La rose Blanche Korhogo est passé à 21 chambres juste avant la crise de 2002. A 30 chambres en 2011, puis 45 en 2017. Aujourd’hui, ce complexe hôtelier compte 75 chambres, 7 salles de séminaires, une piscine… et un restaurant de 50 places avec un bar. La rose Blanche a l’ambition de devenir un acteur incontournable dans le secteur touristique et hôtelier de la Côte d’Ivoire.

EMMANUEL KOUASSI