Secteur brassicole : Quand la bière hausse le revenu des riziculteurs d’au moins 25%

Secteur brassicole : Quand la bière hausse le revenu des riziculteurs d’au moins 25%

Secteur brassicole : Quand la bière hausse le revenu des riziculteurs d’au moins 25%

« L’utile, le riz local mis en valeur, l’agréable, le projet Krispi. C’est -à-dire  12 500 tonnes de riz blanchi et tracé  orientées vers le marché national pour commercialisation, 3000 producteurs cooptés et formés aux bonnes pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, hausse de revenus  d’au moins 25 % garantie. »  Il y a deux ans avec l’arrivée de Brassivoire,  c’est tout le  secteur brassicole qui va connaitre un changement, à la fois au profit des consommateurs que des agriculteurs.

En effet, la mise sur le marché de cette bière avec pour ingrédient de base,  les fines brisures de riz produit en terre ivoirienne a permis de développer ce secteur.

La célébration de cet anniversaire de la bière Ivoire a été marquée par un « Soukoya party » au siège de Brassivoire, le 14 novembre 2018. Joint par téléphone, la nouvelle directrice marketing, Martine Gatabazi a déclaré : «  Nous sommes fiers d’avoir conquis le cœur des Ivoiriens. Ivoire, votre bière de qualité brassée chez et pour vous, vous dit merci…L’aventure ne fait que commencer ».

L’avènement de cette marque a permis aux  amateurs de bière de découvrir qu’à travers de simples capsules l’on pouvait gagner des bolides, des maquis clés en mains voire des villas. Tel était le but du jeu ‘’Ivoire Soutra’’.

A cela, il faut ajouter que Brassivoire a servi au public au moins 12 mois de festivités comme en témoigne « Festi’Ivoire » et « Ivoire Zouglou CI » marquées par la mise en valeur de la culture ivoirienne. L’on se souvient encore de l’appui de cette société aux initiatives culturelles telles que l’Abissa, Yahé festival, ‘‘fêtes de génération’’, ‘‘Paquinou’’.

A côté de toutes ces actions, la société a su mettre en avant sa responsabilité sociétale à travers des actions caritatives et des dons. Et cela à Bouaké avec la pénurie d’eau, à Bouaflé avec la crue d’eau ainsi que les inondations à Abidjan.

Salif D. CHEICKNA
salifou.dabou@fratmat.info