Santé, éducation, environnement, sport, culture, Liberté d’expression… Les fondations sont engagées dans ces domaines de la vie socio-économique des pays africains.

 Un engagement qui bénéficie à des millions de populations à travers le continent. Aussi ont-elles besoin d’être connues mais surtout d’être honorées, histoire de les encourager à poursuivre et intensifier leurs actions, inciter les uns et les autres à en créer davantage pour le bien-être des populations.

C’est l’objectif de l’Africa foundations awards (Afa) dont la première édition s’est tenue le 16 novembre, à l’immeuble Crrae-Uemoa à Abidjan-Plateau.

Au total, 19 fondations ont été primées pour cette première édition et six prix spéciaux ont été décernés à des fondations de Premières dames africaines.

L’Afa se veut une plateforme permettant aux différentes fondations africaines de se retrouver pour partager leurs expériences.

« C’est un concept sur lequel nous avons travaillé durant plusieurs années. Aujourd’hui, c’est une réalité et nous en sommes très heureux. En Afrique, le besoin est là, dans les différents domaines de la vie. L’État ne peut pas tout faire. Il faut des personnes de bonne volonté, qui ont les moyens, qui ont les idées et qui créent des fondations. Cela pourra soutenir l’État et aider les populations », s’est félicité Steven Doudou Cissé, directeur exécutif de l’Afa.

La deuxième édition se tiendra l’année prochaine dans un autre pays africain.

FAUSTIN EHOUMAN