‘‘Solid’artist’’: Une lueur d’espoir pour les créateurs ivoiriens

La présentation de la comédie musuciale écrite par Alain Tailly
La présentation de la comédie musuciale écrite par Alain Tailly
La pru00e9sentation de la comu00e9die musuciale u00e9crite par Alain Tailly

‘‘Solid’artist’’: Une lueur d’espoir pour les créateurs ivoiriens

‘‘Solid’artist’’: Une lueur d’espoir pour les créateurs ivoiriens

Une nouvelle lueur d’espoir s’ouvre sur le monde des arts et de la culture en Côte d’Ivoire. Le Bureau ivoirien des droits d’auteur (Burida) vient d’instaurer une journée nationale de solidarité à l’égard des créateurs ivoiriens.

Il s’agit en réalité pour la première responsable du Burida, Mme Vieira Irène Assa, d’une journée de partage. Ce, pour manifester à l’endroit des artistes diverses actions de solidarité et de reconnaissance.

Le 20 décembre dernier, à travers un dîner-gala auréolé d’activités artistiques au Golf Hôtel, la maison des artistes a porté sur les fonts baptismaux cette journée qui devra désormais faire date dans l’histoire de la Côte d’Ivoire artistique.

Parents pauvres du système social ivoirien en matière de prévoyance sociale, les artistes ivoiriens ont recours en cas de maladie ou de difficultés à l’aide populaire sous forme de SOS et de téléthon. C’est à cette forme de « mendicité » que le Burida a décidé de mettre fin, à travers Solid’artist.

La campagne de mobilisation autour de la cause des créateurs aura permis en sa première édition de revisiter le talent des artistes ivoiriens. Comme en témoigne cette comédie musicale « Soleil d’espoir » qui a mis en évidence tous les corps de métier au niveau des arts.

Dans cette pièce écrite par Alain Tailly et mis en scène par Bomou Mamadou, l’on a vu la participation de Julien Goualo, Adrienne Koutouan, Yodé, Tiane, Wedji Ped, Zakry Noël, le ballet national de Côte d'Ivoire, Assirifix armand, Orentchy et bien d'autres artistes.

Ce dîner-gala de solidarité a été, par ailleurs, marqué par une exposition-vente d’œuvres d’art et de prestations artistiques. En l’occurrence les groupes Djarabikan, Dozo-jazz, Awa Boussim et la « vieille mère » Allah Thérèse.


CHEICKNA D. Salif
salifou.dabou@fratmat.info
(Infos: cellule communication Burida)