Littérature: « Tout se paye sur terre », la première oeuvre de Fatim N’diaye dédicacée

Littérature: « Tout se paye sur terre », la première oeuvre de Fatim N’diaye dédicacée

Selon l'auteure, son ouvrage est un éveil des consciences auprès des parents, tuteurs, frères et sœurs. Il encourage à une prise de conscience de la maltraitance faite aux enfants. Pour elle, toutes les violences envers les enfants sont certainement les plus cachées.

Notamment celles subies par des enfants alors qu'ils sont à la garde d'une personne de confiance ou dont ils dépendent comme un parent, un frère ou une soeur plus âgée, un autre membre de la famille, une nourrice, un baby-sitter, ou par une personne ayant une autorité sur l'enfant (enseignant, éducateur, personnel soignant, prêtre, etc.).

 Ici, l'auteure décrit la situation pénible à laquelle est confrontée une petite fille de 10 ans, obligée de quitter sa mère pour aller vivre avec son père d'où elle sera traitée de façon monstrueuse par sa marâtre.

A en croire la jeune écrivaine, une manière de relater les tares et les maux qui minent la société moderne au profit des tout-petits. Mais également sensibiliser certains parents qui, selon elle, parfois démissionnent de leur rôle en tant que père de famille.

Jean Bavane Kouika

« Tout se paye sur terre », 78 pages, Edition matrice