L’information a été livrée le mercredi 29 mai, par le directeur général de l’Institut national de la statistique (Ins), Doffou N’Guessan, au cours d’un atelier à Jacqueville.

Lequel atelier avait pour but d’évaluer la phase pilote de ce prochain recensement. Il a rassemblé une cinquantaine de participants représentant différents ministères. Il permettra ainsi de disposer d’un rapport détaillé, relevant les faiblesses, les difficultés et les recommandations susceptibles d’améliorer la méthodologie du Rgph 2019.

Cette séance de travail qui a duré trois jours (du 27 au 29 mai), a permis aux participants d’analyser les questions portant sur l’efficacité de l’organisation générale du recensement (aspect administratif, logistique et matériel), la capacité du projet à couvrir l’ensemble du terrain notamment, les zones difficiles d’accès du pays, l’efficacité de la chaîne de formation des personnels d’exécution, l’efficacité de la campagne de sensibilisation et de mobilisation sociale, l’efficacité des programmes de collecte, la qualité des données.

Le directeur général de l’Ins a, en outre, souligné que la phase pilote du Rgph 2019 s’est déroulée sur un échantillon de 80 Zones de dénombrement (Zd) réparties en 20 Zones de contrôle (Zc) sélectionnées dans les zones écologiques préalablement identifiées à l’issue de la cartographie censitaire pilote.

CASIMIR DJEZOU