Zacharie Adetola (Apôtre): "Quand Dieu se répand dans une nation, la pauvreté disparaît"

« Nous avons un fardeau pour la Francophonie. Parce que sur les dix pays les plus pauvres du monde, huit sont francophones. Et la pauvreté est le résultat du manque de la connaissance de Dieu. Quand Dieu se répand dans une nation, la pauvreté n’a plus sa place »,  a estimé l’Apôtre Zacharie Adetola, pasteur principal de la mission évangélique Ephrata.

L’homme de Dieu, également initiateur de la Conférence des leaders qui s’est déroulée du 23 au 25 octobre à Abidjan-Cocody Riviera Ephrata, avec la participation du Dr Morris Cerullo  et de 20 autres nations du monde, a tenu ces propos, à l’issue de cette rencontre, pour justifier l’importance de l’école du ministère pour la Francophonie.

« Une des raisons qui justifie l’organisation de cette conférence dans l’espace francophone, c’est pour que la Francophonie soit aiguisée  avec la « Double portion » du Saint Esprit  et fasse les mêmes exploits  que les pays anglophones », a ajouté  l’Apôtre Zacharie.

« L’école  de ministère est une plateforme où les gens sont aiguisés, sont formés, sont envoyés. C’est un lieu de recyclage, de restauration, d’enseignement et de formation. C’est utiliser pour préparer les  leaders  et les moissonneurs pour la francophonie », a-t-il précisé.

Avant de souligner que le Dr Morris Cerullo a un penchant important pour la francophonie. «Ce n’est pas la première fois que le Dr Morris Cerullo est arrivé en Côte d’Ivoire. Mais chaque année à sa particularité…Il a fait cinq autres pays (Burundi, Rwanda, Ghana...) où il a fait une seule  nuit. Mais ici, il a fait trois jours », s’est-il réjoui.

Tout comme plusieurs autres leaders religieux du monde (Révérend Marc Masson Bishop Mike Zino, Bishop Charles Agyn Asare…), l’Apôtre Zacharie Adetola est à ajouter à la liste de ceux qui ont côtoyé de plus près le Dr Morris Cerullo.

Tous ses disciplines reconnaissent en cet homme de 83 ans et ayant à son actif 68 de ministère, « un prophète apostolique de Dieu des derniers  temps.»

Isabelle Somian
Isabelle.somian@fratmat.info