La ville de Bouaké renaît. (DR)
An 65 de la Côte d’Ivoire : Bouaké symbole de maturité, de retour au cœur du système
Dans son adresse à la Nation le 6 août 2025, le Président de la République, Alassane Ouattara, a clairement annoncé la poursuite des efforts pour la renaissance de Bouaké, deuxième ville de la Côte d’Ivoire.
Au dire d’Alassane Ouattara, c’est à Bouaké que se fera le bilan de la marche du pays. C’est également de Bouaké que la nouvelle projection devra partir. Le choix de « Gbêkê » n’est dont pas fortuit parce que « 65 ans, c’est l’âge de la maturité. L’âge où une Nation peut, avec fierté, mesurer son parcours, ses efforts, ses réussites et ses résiliences. Cet anniversaire est donc, bien plus qu’une commémoration : c’est un moment de prise de conscience collective sur le chemin parcouru, une invitation à consolider les acquis et à se projeter dans le futur ».
Le Chef de l’État a insisté pour dire que Bouaké fera désormais l’objet de toutes les attentions. Le disant, Alassane Ouattara témoigne – une fois – sa solidarité et sa compassion à cette ville qui a connu des moments difficiles après qu’elle a été par le passé, la cité de la joie et du bonheur par excellence avec son festival notamment. « C’est à Bouaké que nous avons choisi de célébrer cette édition hautement symbolique. Bouaké est une ville au cœur de notre histoire récente », a déclaré le Président de la République.
Mais le Chef de l’État a rappelé que Bouaké ne connaîtra plus les souffrances qu’elle a supportées. Autrement dit, Bouaké va finir de panser ses plaies pour reprendre sa marche – là où elle l’avait laissée - sur l’autoroute du développement.
Relativement à cette promesse, Alassane Ouattara est formel : « Bouaké est une ville de douleurs passées, mais surtout de renaissance, de rassemblement et de fraternité retrouvée ». C’est donc un appel à la mobilisation autour de Bouaké que le Chef de l’État a lancé. Bouaké doit reprendre toutes sa place et retrouver sa gloire passée.
« C’est aussi un retour historique, car la dernière fois que Bouaké a accueilli une fête de l’indépendance, c’était en 1964. 61 ans plus tard, en 2025, c’est donc toute la Côte d’Ivoire rassemblée qui revient à Bouaké pour saluer son rôle, sa résilience, et ce qu’elle symbolise pour notre Nation », dira-t-il.
Le Président de la République a également mis en exergue la « résilience » de Bouaké. La cité a su rester debout malgré toutes les crises socio-politiques qu’a connues la Côte d’Ivoire et qui ne l’ont pas épargnée.
À en croire le Président Ouattara, Bouaké a assez donné à la Côte d’Ivoire. Le retour de la fête de l’indépendance apparaît donc comme le renvoi de l’ascenseur à une cité qui a su garder son statut de ville cosmopolite, stable et accueillante malgré les difficultés.
Selon Alassane Ouattara, il s’agit d’être reconnaissant pour tout ce que Bouaké a offert à la Côte d’Ivoire.
Le Chef de l’État a insisté pour dire que Bouaké fera désormais l’objet de toutes les attentions. Le disant, Alassane Ouattara témoigne – une fois – sa solidarité et sa compassion à cette ville qui a connu des moments difficiles après qu’elle a été par le passé, la cité de la joie et du bonheur par excellence avec son festival notamment. « C’est à Bouaké que nous avons choisi de célébrer cette édition hautement symbolique. Bouaké est une ville au cœur de notre histoire récente », a déclaré le Président de la République.
Mais le Chef de l’État a rappelé que Bouaké ne connaîtra plus les souffrances qu’elle a supportées. Autrement dit, Bouaké va finir de panser ses plaies pour reprendre sa marche – là où elle l’avait laissée - sur l’autoroute du développement.
Relativement à cette promesse, Alassane Ouattara est formel : « Bouaké est une ville de douleurs passées, mais surtout de renaissance, de rassemblement et de fraternité retrouvée ». C’est donc un appel à la mobilisation autour de Bouaké que le Chef de l’État a lancé. Bouaké doit reprendre toutes sa place et retrouver sa gloire passée.
« C’est aussi un retour historique, car la dernière fois que Bouaké a accueilli une fête de l’indépendance, c’était en 1964. 61 ans plus tard, en 2025, c’est donc toute la Côte d’Ivoire rassemblée qui revient à Bouaké pour saluer son rôle, sa résilience, et ce qu’elle symbolise pour notre Nation », dira-t-il.
Le Président de la République a également mis en exergue la « résilience » de Bouaké. La cité a su rester debout malgré toutes les crises socio-politiques qu’a connues la Côte d’Ivoire et qui ne l’ont pas épargnée.
À en croire le Président Ouattara, Bouaké a assez donné à la Côte d’Ivoire. Le retour de la fête de l’indépendance apparaît donc comme le renvoi de l’ascenseur à une cité qui a su garder son statut de ville cosmopolite, stable et accueillante malgré les difficultés.
Selon Alassane Ouattara, il s’agit d’être reconnaissant pour tout ce que Bouaké a offert à la Côte d’Ivoire.