An 65 de la Côte d’Ivoire : « La Côte d’Ivoire, un pôle de confiance et un modèle de développement… », souligne Alassane Ouattara

Le chef de l’État, Alassane Ouattara. (Ph: Dr)
Le chef de l’État, Alassane Ouattara. (Ph: Dr)
Le chef de l’État, Alassane Ouattara. (Ph: Dr)

An 65 de la Côte d’Ivoire : « La Côte d’Ivoire, un pôle de confiance et un modèle de développement… », souligne Alassane Ouattara

Le 06/08/25 à 21:39
modifié 06/08/25 à 22:41
« La Côte d’Ivoire est un havre de paix et de stabilité, un pôle de confiance et un modèle de développement ». C’est en ces termes que le Président de la République, Alassane Ouattara, a indiqué que le repositionnement de la Côte d’Ivoire sur l’échiquier international est achevé et que le pays peut maintenant poursuivre résolument son processus de développement conformément à son statut de locomotive de la zone Uemoa (Union économique et monétaire ouest-africaine) et au-delà.

Au dire du Chef de l’État, ce succès est une performance collective obtenue « grâce à la solidité de nos institutions, à l’unité des fils et des filles de notre pays, à l’engagement continu et au professionnalisme de nos forces de défense et de sécurité ».

Le Chef de l’exécutif ivoirien souligne que l’on ne doit pas relâcher les efforts dans la mesure où « le contexte régional et international reste marqué par de graves incertitudes ». « Aux menaces sécuritaires dans la sous-région s’ajoutent les défis économiques et monétaires auxquels sont confrontés plusieurs pays d’Afrique et du monde ».

Outre la menace terroriste en Afrique de l’Ouest et dans la zone sahélo-saharienne, le bouleversement des échanges dus à la forte augmentation des droits de douanes par l’administration Trump aux États-Unis, Alassane Ouattara faisait ainsi allusion aux conflits en Ukraine, aux Proche et Moyen Orients avec leurs impacts sur le commerce mondial.

Même si « Face à cela, la Côte d’Ivoire a su faire preuve de résilience », le Président de la République s’engage à renforcer les acquis. Cela passe notamment par le renforcement des capacités de projection et d’intervention des forces de défense et de sécurité tant aux frontières qu’à l’intérieur du pays. Mais également par des choix de politiques économiques et monétaires qui permettent de maîtriser l’inflation, de faire en sorte que la dette reste soutenable et de maintenir une croissance soutenue.

Sur ce point , le Chef de l’État s’inscrit donc dans la continuité de l’action qu’il a mise en œuvre depuis son accession à la magistrature suprême. Comme l’a-t-il rappelé : « Nous avons su faire les bons choix dans la rigueur et l’anticipation des équilibres macro-économiques, soutenir l’activité économique et maintenir le cap du développement, tout en garantissant notre souveraineté ».


Le 06/08/25 à 21:39
modifié 06/08/25 à 22:41