Amélioration du climat des affaires: Le Pnud outille la Côte d’Ivoire pour accéder au statut « investment grade »
Le Programme des nations unies pour le développement (Pnud) continue de soutenir la Côte d’Ivoire dans son ambition d’accéder à la catégorie « Investment grade », gage de confiance pour les investisseurs et levier stratégique pour le développement.
Du 30 juillet au 1er août 2025, un atelier national s’est tenu à Yamoussoukro sur les méthodologies de notation souveraine et l’optimisation du processus de préparation aux évaluations.
Ce rendez-vous de haut niveau s’inscrit dans le cadre de l’initiative de « crédit rating en Afrique », lancée en 2024 et financée par le gouvernement japonais. À travers cette initiative, le Pnud entend doter les États africains d’outils techniques et institutionnels pour mieux interagir avec les agences de notation comme Fitch, Moody’s ou S&P. L’objectif étant d’améliorer leur positionnement sur les marchés financiers et favoriser un accès à des ressources de financement à moindres coûts.
Pendant trois jours, une trentaine de cadres issus des ministères sectoriels et d’agences stratégiques ont approfondi leurs connaissances sur les évaluations de risque, les méthodologies de notation et les stratégies de communication adaptées.
Représentant le ministre des Finances et du Budget, Agnero Bossman a salué l’engagement du Pnud, tout en soulignant les défis que constituent la coordination interministérielle et la construction d’un narratif cohérent autour de la solvabilité du pays.
De son côté, Dr Boga Christian, économiste national du Pnud, a, au nom de Mme Blerta Cela, rappelé que derrière une note souveraine se cache parfois le coût social d’un projet non financé. Il a réitéré l’engagement du Pnud à accompagner durablement le pays dans ce processus stratégique. La mise en place d’un comité interministériel dédié au "crédit rating" apparaît désormais comme un impératif.
Ce rendez-vous de haut niveau s’inscrit dans le cadre de l’initiative de « crédit rating en Afrique », lancée en 2024 et financée par le gouvernement japonais. À travers cette initiative, le Pnud entend doter les États africains d’outils techniques et institutionnels pour mieux interagir avec les agences de notation comme Fitch, Moody’s ou S&P. L’objectif étant d’améliorer leur positionnement sur les marchés financiers et favoriser un accès à des ressources de financement à moindres coûts.
Pendant trois jours, une trentaine de cadres issus des ministères sectoriels et d’agences stratégiques ont approfondi leurs connaissances sur les évaluations de risque, les méthodologies de notation et les stratégies de communication adaptées.
Représentant le ministre des Finances et du Budget, Agnero Bossman a salué l’engagement du Pnud, tout en soulignant les défis que constituent la coordination interministérielle et la construction d’un narratif cohérent autour de la solvabilité du pays.
De son côté, Dr Boga Christian, économiste national du Pnud, a, au nom de Mme Blerta Cela, rappelé que derrière une note souveraine se cache parfois le coût social d’un projet non financé. Il a réitéré l’engagement du Pnud à accompagner durablement le pays dans ce processus stratégique. La mise en place d’un comité interministériel dédié au "crédit rating" apparaît désormais comme un impératif.