
La ministre Françoise Remarck entourée des acteurs de la Culture et de la Francophonie, après le Gouv’Talk
La ministre Françoise Remarck entourée des acteurs de la Culture et de la Francophonie, après le Gouv’Talk
De 2012 à 2024 : La culture, nouveau moteur de croissance en Côte d’Ivoire
Abidjan, le 31 juillet 2025 – Depuis 2012, le secteur de la Culture et de la Francophonie en Côte d’Ivoire connaît une transformation profonde, illustrée par des avancées notables sur le plan patrimonial, économique et institutionnel.
Invitée du Gouv’Talk, la plateforme d’échanges en direct du Centre d’Information et de Communication gouvernementale (CICG), la ministre Françoise Remarck a présenté, ce jeudi à Abidjan-Plateau, les résultats de plus d’une décennie de réformes. Elle a souligné la volonté du gouvernement « de faire de la culture un véritable levier de développement économique ».
Le bilan est éloquent. Le nombre de sites et éléments culturels ivoiriens inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO est passé de 3 à 7 entre 2012 et 2024, offrant une vitrine internationale au patrimoine national. Parallèlement, 37 accords de coopération culturelle ont été signés avec des pays de tous les continents, renforçant le dialogue interculturel et la diplomatie des arts.
Sur le plan économique, la dynamique est tout aussi impressionnante. Le nombre d’entreprises culturelles créées chaque année a plus que doublé, passant de 2 831 en 2012 à 6 070 en 2024. Leur chiffre d’affaires global a suivi la même tendance, atteignant 171 milliards de FCFA en 2024, contre 112 milliards en 2012.
Côté protection des créateurs, les avancées sont majeures. Le Bureau Ivoirien du Droit d’Auteur (BURIDA) a multiplié par près de 30 le montant des droits répartis aux artistes et ayants droit – 1,7 milliard FCFA en 2024 contre 59,6 millions en 2012. Les droits recouvrés se chiffrent désormais à 5,5 milliards FCFA, contre 682 millions douze ans plus tôt.
Ces performances traduisent, selon la ministre, « l’impact des réformes engagées et la pertinence des politiques publiques menées » pour faire de la culture ivoirienne un moteur de rayonnement et de croissance.
Le bilan est éloquent. Le nombre de sites et éléments culturels ivoiriens inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO est passé de 3 à 7 entre 2012 et 2024, offrant une vitrine internationale au patrimoine national. Parallèlement, 37 accords de coopération culturelle ont été signés avec des pays de tous les continents, renforçant le dialogue interculturel et la diplomatie des arts.
Sur le plan économique, la dynamique est tout aussi impressionnante. Le nombre d’entreprises culturelles créées chaque année a plus que doublé, passant de 2 831 en 2012 à 6 070 en 2024. Leur chiffre d’affaires global a suivi la même tendance, atteignant 171 milliards de FCFA en 2024, contre 112 milliards en 2012.
Côté protection des créateurs, les avancées sont majeures. Le Bureau Ivoirien du Droit d’Auteur (BURIDA) a multiplié par près de 30 le montant des droits répartis aux artistes et ayants droit – 1,7 milliard FCFA en 2024 contre 59,6 millions en 2012. Les droits recouvrés se chiffrent désormais à 5,5 milliards FCFA, contre 682 millions douze ans plus tôt.
Ces performances traduisent, selon la ministre, « l’impact des réformes engagées et la pertinence des politiques publiques menées » pour faire de la culture ivoirienne un moteur de rayonnement et de croissance.