Sangaré Badra Ali, portier des Éléphants. (Ph: Dr)
Sangaré Badra Ali (portier des Éléphants) : "Je n’écarte pas un retour en Ligue 1"
Libéré par son club, l'international ivoirien est en vacances à Abidjan.
Quelles sont les principales raisons de votre départ du club ?
C’est une question de choix. Nous avons eu un nouvel entraîneur qui a décidé de renouveler l’effectif à sa manière et je suis l’une des victimes. C’est tout cela le footballeur. Il faut être prêt à tout. C’est arrivé et on va penser désormais à autre chose, en espérant un avenir meilleur.
Comment voyez-vous l’avenir ?
Je suis un sportif et je suis appelé à jouer partout. Je suis prêt à bondir sur des opportunités. Que ce soit en Afrique du Sud où ailleurs, peu importe. Pourvu que les conditions soient bonnes.
Justement, que diriez-vous d’un retour en Côte d’Ivoire comme Sylvain Gbohouo ?
Je suis prêt à rebondir en Côte d’Ivoire si les conditions sont réunies et que cela se passe dans les normes. Je ne suis pas du tout fermé à un retour en Côte d’Ivoire. On a vu un joueur comme Amrabat, l’international marocain, revenir jouer dans son pays, alors c’est possible. Il y a beaucoup de joueurs qui ont l’envie de revenir mais souvent les conditions ne sont pas réunies. Si nous avons la possibilité de donner un coup de main au championnat de Ligue 1 pour exporter le football ivoirien, pourquoi hésiter.
La Can 2025 est-elle un objectif pour vous ?
En tant que sportif et bon compétiteur, on a toujours en ligne de mire cette Can. Ce sera une Can de confirmation pour nous, vu que nous sommes champions en titre. On se prépare tout doucement pour pouvoir faire une très bonne compétition.
Ce sera bientôt la suite et la fin des éliminatoires du Mondial. Dans quel état d’esprit vous trouvez-vous, en tant qu’ancien de l’équipe ?
Nous sommes toujours prêts à mouiller le maillot, en attendant nos convocations en sélection. En ce qui me concerne, il y a un autre défi, celui de me trouver rapidement un club avant d’envisager quoi que ce soit en équipe nationale. J’espère que cela va se faire le plus rapidement possible et nous préparer tout doucement pour les prochaines échéances.
Quels sont vos rapports avec Yahia Fofana, votre jeune frère de la sélection ?
Nous sommes là pour encadrer les jeunes et leur donner des conseils. Nous les préparons à être prêts à tous les niveaux pour faire de bonnes compétitions. Ils sont jeunes, il leur revient de tenir compte de nos conseils et de les mettre à profit pour progresser.
Interview réalisée par
Comment voyez-vous l’avenir ?
Je suis un sportif et je suis appelé à jouer partout. Je suis prêt à bondir sur des opportunités. Que ce soit en Afrique du Sud où ailleurs, peu importe. Pourvu que les conditions soient bonnes.
Justement, que diriez-vous d’un retour en Côte d’Ivoire comme Sylvain Gbohouo ?
Je suis prêt à rebondir en Côte d’Ivoire si les conditions sont réunies et que cela se passe dans les normes. Je ne suis pas du tout fermé à un retour en Côte d’Ivoire. On a vu un joueur comme Amrabat, l’international marocain, revenir jouer dans son pays, alors c’est possible. Il y a beaucoup de joueurs qui ont l’envie de revenir mais souvent les conditions ne sont pas réunies. Si nous avons la possibilité de donner un coup de main au championnat de Ligue 1 pour exporter le football ivoirien, pourquoi hésiter.
La Can 2025 est-elle un objectif pour vous ?
En tant que sportif et bon compétiteur, on a toujours en ligne de mire cette Can. Ce sera une Can de confirmation pour nous, vu que nous sommes champions en titre. On se prépare tout doucement pour pouvoir faire une très bonne compétition.
Ce sera bientôt la suite et la fin des éliminatoires du Mondial. Dans quel état d’esprit vous trouvez-vous, en tant qu’ancien de l’équipe ?
Nous sommes toujours prêts à mouiller le maillot, en attendant nos convocations en sélection. En ce qui me concerne, il y a un autre défi, celui de me trouver rapidement un club avant d’envisager quoi que ce soit en équipe nationale. J’espère que cela va se faire le plus rapidement possible et nous préparer tout doucement pour les prochaines échéances.
Quels sont vos rapports avec Yahia Fofana, votre jeune frère de la sélection ?
Nous sommes là pour encadrer les jeunes et leur donner des conseils. Nous les préparons à être prêts à tous les niveaux pour faire de bonnes compétitions. Ils sont jeunes, il leur revient de tenir compte de nos conseils et de les mettre à profit pour progresser.
Interview réalisée par